Guide du LRDELes permanents du LRDE2017-05-03
(Version 99544e9) |
Ce document, édité le 2017-05-03, est le guide des membres du LRDE. Il
est disponible sous plusieurs formes:
Ce document compte de nombreux auteurs, et tout particulièrement:
-
Daniela Becker
- Akim Demaille
- Alexandre Duret-Lutz
- Geoffroy Fouquier
- Jean-Philippe Garcia-Ballester
- Roland Levillain
- Raphaël Poss
- Didier Verna
Les sources de ce guide sont stockées dans le dépôt Git
‘lrde-admin-lrde’, à l’adresse
git@git.lrde.epita.fr:lrde-admin-lrde, au sein du répertoire
‘guide’.
Table des matières
Chapitre 1 Introduction
Ce document fournit des lignes de conduite pour les membres du LRDE.
-
Pourquoi en LATEX et pas sur le Wiki ?
- La majorité du contenu
était disponible sur le Wiki, mais son manque de structure et
l’impossibilité d’imprimer des livrets réduisait sa visibilité: un
«vrai» document était une meilleure solution.
- Pourquoi LATEX ?
- LATEX est un bon outil pour générer du texte
brut, de l’HTML, et des documents imprimables. Par ailleurs, les sources
de ce document peuvent donner de l’inspiration sur comment rédiger un
rapport.
Chapitre 2 Fonctionnement du LRDE
La vie de tous les jours au LRDE.
2.1 Confiance
Le fonctionnement du LRDE repose de façon essentielle sur la
confiance et le respect entre tous ses membres, permanents et
étudiants.
La sanction du LRDE a une forme unique: l’exclusion,
-
pour toute activité illégale au regard de la loi,
- pour le viol d’interdictions du règlement de l’EPITA,
- si l’ensemble des permanents juge un comportement inacceptable.
Le bon sens devrait suffire, mais explicitons certaines instances
(listes non limitatives):
-
vol
- piratage informatique
- usurpation d’identité
- manque de respect patenté à autrui
2.2 Réunions
Les différentes réunions labo (spécifiques à chaque projet, globales,
restreintes aux permanents) ont lieu le mercredi. Il est plus facile de
se réserver une journée fixe et périodique pour s’assurer de la présence
de tout le monde. Disposer d’une journée fixe ne suffit cependant pas
dans certains cas: des impondérables peuvent de temps en temps nous
contraindre à modifier tardivement si ce n’est le jour, du moins les
horaires de chaque réunion. Pour cette raison, la présence au
laboratoire est obligatoire tous les mercredis dès 10h, et ce même si
la première réunion n’est prévue qu’à midi. Étant donnée cette
contrainte faible, les retards du matin sont peu appréciés, et les
retards aux réunions, comme à tout autre rendez-vous, sont intolérables.
La réunion «globale» du labo a lieu un mercredi sur deux, à 12h, peu
avant le repas de façon à pousser à la brièveté. Cette réunion commence
typiquement par un certain nombre de globalités sur la vie du labo, de
l’école, les échéances, les bonnes nouvelles etc. Puis, pour chaque
projet/groupe de travail, un délégué prend la parole. Pour préciser le
rôle de ce «médiateur»:
-
Le but est que ce médiateur fournisse un état d’avancement
synthétique du projet, pour tout le monde, et en particulier
ceux qui ne sont pas dans ledit projet. Nous insistons sur le caractère
«synthétique». C’est précisément pour éviter toute redondance. À
titre de contre-exemple, dire «Truc a fait ceci, et machin a fait
cela» n’est pas un compte-rendu synthétique. De l’extérieur,
on se fiche de savoir qui a fait quoi. Ce qui nous intéresse, c’est de
savoir ce qui a avancé dans le projet, où se posent des problèmes etc.
- En corollaire, il faut aussi comprendre que vous forcer à choisir
un délégué de réunion pour chaque projet est bon pour vous parce que
ça vous oblige à communiquer en interne afin de préparer correctement
la synthèse. On a par exemple suggéré que
l’inconvénient d’une présentation synthétique est que les problèmes
précis que peuvent se poser telle ou telle personne ne sont plus
évoqués. Mais si cela se produit, c’est que le groupe communique mal.
Le problème particulier d’un individu au sein d’un projet ne doit
jamais rester au niveau individuel, mais doit être partagé par tout le
groupe (voire même par les autres groupes). C’est comme ça que le
projet avance, et si vous êtes capables de communiquer suffisamment au
sein de chaque projet, alors la synthèse ne devrait pas poser de
problème.
Cela n’exclut en aucun cas la possibilité d’une prise de parole
individuelle. L’animateur de la réunion s’efforcera après chaque
compte-rendu par projet de laisser du temps pour les prises de paroles
individuelles.
Avant 2005, chacun avait son tour de parole. Ceci a été changé pour deux
raisons:
-
avec l’effectif croissant du LRDE, les réunions devenaient
interminables,
- trop souvent les gens disaient la même chose, ou disaient
simplement qu’ils n’avaient rien à dire (ex: «je fais mon rapport» ;
«pareil que mon voisin» etc).
2.3 L’état d’esprit
Le LRDE et la scolarité CSI tels qu’ils sont aujourd’hui sont le
résultat d’années d’évolution d’un système unique en son genre. Chaque
année des dysfonctionnements sont dénoncés et corrigés, plus ou moins
bien. Certains sujets sont récurrents, certains points sont
surprenants. Cette section tente d’expliquer et/ou de motiver nos
règles de fonctionnement.
Par exemple la réunion LRDE était autrefois hebdomadaire, sans contrôle
du temps ni format contraint ; les longues digressions étaient
fréquentes, et la réunion durait régulièrement plus de deux heures avec
des échanges qui parfois n’intéressaient qu’une fraction des
présents. Pour contrer ces travers, elle est aujourd’hui bimensuelle,
avec format contraint ; en contrepartie, les échanges et la
«cross-polénisation» sont bien moins effectifs, elle ne joue
pratiquement plus qu’un rôle informatif. Aucun permanent n’a de solution
miracle pour résoudre les problèmes.
Si tous les permanents sont prêts à faire des efforts, aucun ne peut
raisonnablement s’engager sur le fait que «tout se passera bien». On,
les étudiants et les permanents, doit faire du «best effort». Ce qui
va de pair avec la volonté d’améliorer le fonctionnement du
laboratoire. À l’inverse, critiquer dans son coin ne permet aucune
amélioration, et n’a qu’à un seul résultat: instaurer un climat
nauséabond. Toute critique franche et ouverte est la bienvenue.
2.3.1 Relation avec les permanents
Autrefois la relation avec les étudiants était très fusionnelle, très
familiale. C’était un autre temps, où tout commençait, tout était à faire.
Aujourd’hui le laboratoire est plus gros (c’est une bonne chose), plus
vieux, et la majeure CSI également (et c’est cohérent avec la croissance du
LRDE, et les demandes de l’EPITA).
Aujourd’hui les permanents sont toujours proches des étudiants, et dans
certains cas la relation est presque amicale, mais nous ne sommes pas
égaux et vous travaillez pour nous, en échange de votre formation, de
notre appui à vos différentes candidatures, etc.
Nous faisons tout notre possible pour encadrer les étudiants du mieux
possible sur les sujets qui leur sont donnés, mais…
-
Nous ne sommes pas toujours maîtres de nos calendriers, et
l’actualité peut parfois nous empêcher d’être aussi proches que nous
le voudrions.
- Les étudiants doivent gagner en indépendance, c’est un des points
les plus fondamentaux à apprendre dans le milieu de la recherche. Ça
ne veut surtout pas dire travailler seul, bien au contraire, mais
travailler avec d’autres, trouver du travail lorsque le superviseur
n’est pas disponible (par exemple creuser la bibliographie).
- Apprenez néanmoins à vous imposer ! Forcez la porte de votre
permanent si vous le jugez nécessaire. Parfois la seule façon de
trouver de la place, c’est de la faire.
Par dessus tout, ne laissez rien moisir (c’est d’ailleurs
valable pour tous les types de relation). Si quelque chose vous
échappe, si une note vous choque, si un travail vous paraît injuste, si
le comportement d’un camarade vous importune, si votre scolarité est en
difficulté, si votre permanent vous agace, etc. faites le savoir. De
nombreux canaux sont à votre disposition: votre encadrant, le
responsable CSI, le responsable LRDE, Daniela, votre délégué, vos camarades,
etc.
Faites nous savoir les problèmes que vous rencontrez. Parfois nous
pouvons les résoudre, d’autre fois nous pouvons vous montrer que ce sont
de faux problèmes, d’autre fois enfin nous serons obligés de reconnaître
avec vous que ce sont des problèmes, mais qu’on ne sait pas les
traiter. «Best effort».
Quel que soit le problème, c’est par la discussion que les meilleures
solutions seront trouvées, et les permanents ont à cœur que les
CSI soient bien dans leur peau.
2.3.2 Le «système» CSI
Aujourd’hui CSI compte environ 5 étudiants par promotion, et deux
promotions simultanées. Nous ne pouvons plus faire du cas par cas, nous
ne pouvons pas faire de cours particulier de rédaction de rapport,
d’erreur d’anglais, de typographie etc. Le guide est une première
réponse: il permet aux permanents d’écrire les consignes, que vous
n’avez plus qu’à suivre; il liste des erreurs fréquentes, que vous
n’avez plus qu’à éviter. Mais alors, bien sûr, lorsque les procédures
ne sont pas suivies, tout le monde perd du temps.
La qualité des commentaires que nous pouvons vous donner baisse lorsque
nous rapportons des erreurs communes (voir par exemple les
sections 3.9.3 et 4.4.2). Le temps passé
sur des sujets importants est amoindri quand il faut vérifier pour
vous que, par exemple, votre rapport est (correctement) mis en ligne
et (correctement) référencé dans ‘csi.bib’ (disponible dans le
dépôt Git ‘lrde-publis-share’ à l’adresse
git@gitlab.lrde.epita.fr:lrde/share, dans ‘bib/csi.bib’).
Comme de plus certains prennent des libertés avec les dates, le système
s’est durci, et régulièrement des points de malus sont mis lorsque les
règles ne sont pas suivies. Nous aimerions un laboratoire sans ce
système, mais il n’a jamais fonctionné: c’est bel et bien le
fonctionnement précédent du LRDE, mais il ne fonctionne pas.
Malheureusement, c’est le système «scolaire» qui est le plus
efficace.
Ainsi, afin de rendre plus claires les attentes des permanents, ce qui
autrefois était une unique note laboratoire est devenu un ensemble
d’exercices et de critères (rapport, recherche, etc.) notés
différemment. Certaines notations sont collégiales (séminaire),
d’autres sont faites par quelques permanents (rapport), voire un seul
(typiquement recherche). Bien sûr se sont posés des problèmes d’harmonie
des notes: untel notait largement, et autretel sèchement.
Une première réponse fut la constitution de la grille de notation, avec
comme effet immédiat et bienvenu une moins grande dispersion des
notes. Certains regrettent que les notes ne couvrent pas un plus grand
spectre, mais c’est indiscutablement un progrès par rapport à la
situation précédente. Par ailleurs, le travail fourni est effectivement
plus homogène et il est de plus en plus rarement mauvais.
Une seconde réponse fut la création de jurys de notation, de façon à ce
que les notes soient harmonisées à l’échelle du laboratoire. Ainsi, les
notes de recherche et développement sont typiquement discutées,
débattues et justifiées par les permanents entre eux. Ils prêtent une
attention spéciale à l’ordre qui en résulte, de façon à éviter qu’un
travail jugé meilleur qu’un autre ait une moins bonne note.
Bien entendu ce système fonctionne mal lorsque certains permanents ne
sont pas présents. Par ailleurs, certains permanents perçoivent mieux
la situation que d’autres, et il n’est du ressort du jury que de
préempter une décision ferme de l’un de ses membres. Ainsi, il
est parfaitement possible que certaines notes ne fassent pas
l’unanimité.
Souvent ces mêmes notes peuvent choquer les étudiants qui y voient une
injustice. Dans ces conditions, il faut d’abord en parler avec nous,
peut-être pour nous ouvrir les yeux sur quelque chose que nous n’avons
pas perçu (ou le contraire). Il est possible alors que rien ne change,
pour tout un ensemble de raisons plus ou moins bonnes.
Quoiqu’il arrive, nous voudrions vous rappeler deux choses. D’abord que
les permanents ne sont pas en faveur d’un système scolaire, il
n’est là que d’une part pour faire plaisir à l’école, et
d’autre part pour maîtriser certains travers de CSI. Ce qui compte,
c’est votre travail, ce que nous pensons, ce que nous en disons, ce que
nous pouvons en faire, et…ce que vous-même en pensez ! C’est
précisément pour cette raison que toutes les notes LRDE sont assorties
de commentaires, que nous voulons plus importants que les notes
elles-mêmes. La seconde observation c’est que…regardez dans votre
assiette, pas dans celles des autres ! Il n’y a pas de concours CSI,
il n’y a pas de classement qui se vaille au LRDE (à commencer par
l’absurdité de vouloir comparer un travail mathématique de l’un avec le
travail plus algorithmique d’un autre). La seule chose qui compte,
c’est la valeur des contributions croisées: ce que le labo vous aura
apporté, et ce que vous aurez apporté au labo.
Bien entendu les problèmes scolaires sont d’un autre ordre ! Et il est
important que nous soyons au courant des soucis que vous rencontrez le
plus rapidement possible pour pouvoir les traiter — si c’est
nécessaire et sain.
2.4 Administration Système
Pour tout problème concernant l’administration système, vous pouvez
contacter directement l’administrateur ou lui envoyer un message
électronique : sysadm at lrde.epita.fr
Le guide d’utilisation des différents services déployés au sein du LRDE est
principalement documenté sur l’intranet page
Ressources.
2.4.1 Gestion du parc du LRDE
Voici une liste de règles et de recommandations concernant le parc
informatique du LRDE.
2.4.1.1 Le parc informatique de l’EPITA
Le parc informatique du LRDE est totalement intégré dans le parc
informatique de l’EPITA. Le règlement de ce dernier s’applique donc
dans son intégralité. Ce règlement a été ratifié par tous les étudiants
de l’EPITA lors de la création de son compte par l’administration
système de l’école (bocal).
2.4.1.2 Permettre un accès privilégié à son ordinateur
En raison de l’inclusion évoquée ci-dessus, pour des raisons légales,
nous devons être en mesure d’établir une responsabilité en cas de
problème impliquant n’importe quel ordinateur du parc du LRDE à la
demande de l’administration supérieure de l’EPITA.
L’accès à ces informations étant conditionné à un accès privilégié sur
chaque ordinateur, vous devez fournir cet accès à l’administrateur
système en charge du LRDE.
Techniquement, la solution privilégiée est l’ajout de la clé ssh d’un
compte particulier (compte non-réseau de l’admin), dans la configuration
ssh de l’utilisateur root de l’ordinateur. Cette clé est située dans le
compte lrde, dans le répertoire ‘etc/’. Voici une méthode de
configuration:
Sur votre machine et en root:
% curl http://sao-paulo.lrde.epita.fr/cluster/files/admin-ssh-key.pub >> ~root/.ssh/authorized_keys
Par défaut, toutes les machines nouvellement installées possèdent déjà
cette clé.
2.4.1.3 Administration des machines personnelles
Les personnes amenées à utiliser leurs propres ordinateurs sont
autorisées à le gérer librement. Vous êtes notamment libre de choisir le
système d’exploitation utilisé et d’installer les services dont vous
jugez avoir besoin. Mais le système choisi est le système GNU/Linux
Debian et l’administration est d’autant facilité par l’uniformisation du
réseau. Si vous choisissez de dupliquer des services, comme d’utiliser
un serveur SMTP local pour envoyer des courriers, vous en êtes
responsable. Toutefois, des restrictions s’appliquent dans le cadre de
l’utilisation de la machine «en réseau».
2.4.1.4 Utilisation des ressources communes
Le LRDE met à disposition de ses étudiants un compte informatique et des
ressources matérielles et logicielles. Il est bien entendu demandé
d’utiliser ces ressources d’une manière respectueuse de l’ensemble. Pour
mémoire, il est interdit de stocker des logiciels et/ou
données non légaux. Une attention particulière est demandée en cas
d’utilisation des ressources communes à des fins personnelles. En
particulier, merci de ne pas abuser de l’espace disque. En cas d’abus,
des quotas seront mis en place.
Le laboratoire dispose d’une imprimante multifonction située dans la réserve.
Une règle à retenir quant à l’utilisation du papier: la personne qui
ouvre la dernière ramette du dernier carton est automatiquement
responsable d’aller chercher un nouveau carton de feuilles. Pour cela,
aller à l’accueil de l’EPITA (entrée rue Voltaire), se présenter en tant
que membre du LRDE et demander à la personne présente un carton de
papier pour l’imprimante du LRDE.
2.4.2 Configuration logicielle
2.4.2.1 Base logicielle
Le LRDE utilise le système de paquet de Debian afin de faciliter
l’installation de tous les paquets requis par les différents projets sur
chaque machine. N’importe qui pouvant travailler sur n’importe quelle
machine, il faut garantir une base commune de logiciel installés.
Pour cela, chaque machine est installé par défaut avec tous les logiciels
indispensables pour chacun des projets du LRDE.
En plus de cela, tout le monde disposant d’un compte LRDE possède certains
droits systèmes comme installer des paquets en passant par la commande sudo.
2.5 Bibliothèque
Emprunts de livres
Beaucoup de livres ont déjà disparu de la bibliothèque, et nous sommes
donc contraints d’adopter des consignes assez strictes.
-
Interdiction formelle de prêter des livres à des non LRDE.
- Les étudiants du laboratoire n’ont pas le droit de sortir les
livres du laboratoire à moins de le consigner auprès de Daniela
Becker.
Commandes de livres
N’hésitez pas à proposer des achats aux permanents.
2.5.1 Classification EPITA des publications
S E | SE | 1 |
UNIX | UNIX | 1_1 |
MSDOS | DOS | 1_2 |
Linux | LINU | 1_3 |
Windows | WIN | 1_4 |
QNX | QNX | 1_5 |
Palm | PALM | 1_6 |
Autres | AUTR | 1_7 |
Généralités | GEN | 1_8 |
Langages | LANG | 2 |
C | C | 2_1 |
C++ | C++ | 2_2 |
Ada | ADA | 2_3 |
Smalltalk | SMAL | 2_4 |
Pascal | PAS | 2_5 |
Caml | CAML | 2_6 |
Java | JAVA | 2_7 |
Lisp | LISP | 2_8 |
Généralités | GEN | 2_9 |
Prolog | PROL | 2_10 |
Script | SCR | 2_11 |
Perl | PERL | 2_12 |
Bureautique | BUR | 3 |
Word | WORD | 3_1 |
Excel | EXCL | 3_2 |
Office | OFF | 3_3 |
Latex | LAT | 3_4 |
Lotus | LOTU | 3_5 |
Bases De Données | SGBD | 4 |
Oracle | ORA | 4_1 |
DB2 | DB2 | 4_2 |
Sql | SQL | 4_3 |
Access | ACCS | 4_4 |
Bd Objet | BDOB | 4_5 |
Généralités | GEN | 4_6 |
I A | IA | 5 |
Réseaux De Neurones | NEUR | 5_1 |
Robotique | ROB | 5_2 |
Reconnaissance De Formes | FORM | 5_3 |
Réalité Virtuelle | VIRT | 5_4 |
Logique Floue | FLOU | 5_5 |
Généralités | GEN | 5_6 |
Logiques | LOG | 5_7 |
Traitement Du Langage | TL | 5_8 |
Systèmes Experts | SE | 5_9 |
Programmation Par Contrainte | PPC | 5_10 |
Réseaux Télécoms | RXTC | 6 |
Tcp/Ip | TCP | 6_1 |
Réseaux Ip | IP | 6_2 |
Ipvg | IPVG | 6_3 |
Lan | LAN | 6_4 |
Wan | WAN | 6_5 |
Généralités | GEN | 6_6 |
Protocoles | PROT | 6_7 |
Outils | OUTI | 6_8 |
Admin Système | ADSY | 6_9 |
Prog Système | PRSY | 6_10 |
Téléphonie | TEL | 6_11 |
Multimédia | MM | 7 |
Son | SON | 7_1 |
Compression | COMP | 7_2 |
Signal | SIGN | 7_3 |
Image | IMAG | 7_4 |
Infographie | GRAP | 7_5 |
Divers | DIV | 7_6 |
Informatique Industrielle | I I | 8 |
Temps Réel | TR | 8_1 |
Automatique Automatisme | AUTO | 8_2 |
Systèmes De Mesure | MESU | 8_3 |
Réseaux Locaux Industriels | RLI | 8_4 |
Architecture | ARCH | 8_5 |
Microprocesseurs | PROC | 8_6 |
Généralités | GEN | 8_7 |
Internet | NET | 9 |
Javascript | JASC | 9_1 |
HTML | HTML | 9_2 |
Création Site | SIT | 9_3 |
XML | XML | 9_4 |
Généralités | GEN | 9_5 |
Php | PHP | 9_6 |
Microsoft | MSN | 9_7 |
Prog / Algo | ALGO | 10 |
Programmation | PROG | 10_1 |
Compilation Interprétation | COMP | 10_2 |
Info Fondamentale | FOND | 10_3 |
Réflexion Sur L’info | REFL | 10_4 |
Algorithmie | ALGO | 10_5 |
Prog Objet | POO | 10_6 |
Prog Fonct | pf | 10_7 |
Génie Logiciel | GL | 11 |
Objet | OBJ | 11_1 |
UML | UML | 11_2 |
Méthode | METH | 11_3 |
Rad | RAD | 11_4 |
Test Logiciel | TEST | 11_5 |
Gestion De Projet | GEST | 11_6 |
Temps Réel | REEL | 11_7 |
Corba | CORB | 11_8 |
Com | COM | 11_9 |
Divers | DIV | 11_10 |
Ihm | IHM | 11_11 |
Outils De Développement | DEV | 12 |
Delphi | DELP | 12_1 |
Power Builder | POW | 12_2 |
Lotus Notes | LOT | 12_3 |
Visual Interdev | VINT | 12_4 |
Visual Basic | VB | 12_5 |
Unix | UNIX | 12_6 |
Borland | BOR | 12_7 |
Visual C | VC | 12_8 |
Sécurité | SECU | 13 |
Unix | UNIX | 13_1 |
Windows | WIN | 13_2 |
E-Commerce | ECOM | 13_3 |
Cryptographie | CRYP | 13_4 |
Firewall | FIRE | 13_5 |
Généralités | GEN | 13_6 |
Math | MATH | 14 |
Analyse Numérique | ANUM | 14_1 |
Proba Stat | PROB | 14_2 |
Recherche Opérationnelle | RO | 14_3 |
Math Info | INFO | 14_4 |
Math Appliquées | APPL | 14_5 |
Prépa | PREP | 14_6 |
Divers | DIV | 14_7 |
Culture Générale | CULT | 15 |
Droit Compta | CPTA | 15_1 |
Management Gestion | GEST | 15_2 |
Sciences Humaines | HUM | 15_3 |
Anglais | ANGL | 15_4 |
Divers | DIV | 15_5 |
Physique | PHYS | 16 |
Électronique | ELEC | 16_1 |
Electromagn | MAGN | 16_2 |
Divers | DIV | 16_3 |
Interfaçage Capteurs | CAPT | 16_4 |
2.5.2 Classification LRDE des publications
C’est également la structure retenue pour ‘/lrde/doc/’. Si vous
installez des publications ici, il serait très apprécié de prendre le
temps de lui donner une entrée BibTeX dans ‘share’, et que cette
entrée BibTeX ait un champ lrdedoc qui pointe sur cette
publication.
misc | ling |
-
misc.ling.fr
- misc.ling.en
|
| guide | |
comp | apps |
-
comp.apps.autotools
- comp.apps.eclipse
- comp.apps.qmtest
- comp.apps.scm
|
| compilers |
-
comp.compilers.attribute-grammars
- comp.compilers.automata
- comp.compilers.parsing
|
| database | |
| dd (Decision diagrams) | |
| graphics |
-
comp.graphics.infoviz
- comp.graphics.opengl
|
| hist (-ory) | |
| humor | |
| lang |
-
comp.lang.ada
- comp.lang.c++
- comp.lang.caml
- comp.lang.concurrency (languages for concurrent programming)
- comp.lang.eiffel
- comp.lang.erlang
- comp.lang.haskell
- comp.lang.java
- comp.lang.lisp
- comp.lang.m5
- comp.lang.python
- comp.lang.ruby
- comp.lang.script
- comp.lang.stratego
|
| mc (model checking) |
-
comp.mc.ba (Büchi Automata)
- comp.mc.bdd (Binary Decision Diagrams)
- comp.mc.ce (Counter-Examples)
- comp.mc.emptcheck (Emptiness Checks)
- comp.mc.inf (Infinite State Spaces)
- comp.mc.logic (Temporal Logics)
- comp.mc.ltl2ba (LTL to Büchi Automatatranslations)
- comp.mc.ltlstruct
- comp.mc.ref (Reference material, general courses, etc.)
- comp.mc.safety (Safety properties)
- comp.mc.streett (Streett Automata)
- comp.mc.stubborn (Partial orders methods: Stubborn sets, ample
sets, persistant sets)
- comp.mc.tableau (Tableau methods)
- comp.mc.tech (Technics, implementations)
- comp.mc.tester (Testers)
- comp.mc.theory (Theoretical papers)
- comp.mc.tool (Tools)
- comp.mc.trace (Traces)
|
| misc |
|
| parallel | |
| prog |
-
comp.prog.algo
- comp.prog.meta
- comp.prog.method
- comp.prog.oo
- comp.prog.pattern
- comp.prog.type
- comp.prog.essay
- comp.prog.visual
|
| sys |
|
| text |
-
comp.text.tex (inclut LATEX)
|
| toolkits |
-
comp.toolkits.gtk
- comp.toolkits.qt
- comp.toolkits.x11
|
tsi | image |
-
tsi.image.learn (Apprentissage automatique (PAMI))
- tsi.image.libs (bibliothèques logicielles)
- tsi.image.rdf (reconnaissance des formes)
|
| signal |
-
tsi.signal.speech
- tsi.signal.nd (volume et vidéo)
|
math | logic | |
| analysis |
|
2.6 Les Bureaux du LRDE
2.6.1 Paritalie
Nos locaux sont dans un bâtiment hébergeant de nombreuses sociétés qui
tiennent au standing de l’ensemble. Le propriétaire donne donc des
consignes très strictes quant aux comportements admissibles. Réfléchir
un peu suffira pour savoir ce que l’on peut ou ne peut pas faire, mais
pour vous aider:
-
ne pas faire de sitting dans les escaliers
- ne pas faire d’attroupements avachis à fumer sa clope etc.
- ne pas s’entraîner au roller dans la cour
- ne pas rentrer en roller dans le bâtiment
- ne pas attacher de vélo à un endroit quelconque de la cour
- etc.
2.6.2 L’allure
La direction nous reprend régulièrement sur divers sujets relatifs à
l’allure, la propreté du LRDE. Croyez bien que nous ne sommes pas
toujours d’accord avec ces remarques, en revanche certains points sont à
respecter…
-
Les livres inutilisés seront plus utiles dans la bibliothèque.
- Veillez en permanence à ce que rien de gênant ne soit visible:
-
consoles de jeu, cartouches, joysticks
- Les déchets sont mieux installés dans la poubelle qu’à côté.
- Les fonds d’écrans indécents sont à exclure.
- Le labo devrait être plus beau pour les JPOs.
- Le couloir doit aussi être dégagé. Lorsqu’on l’on y dispose des
choses qui doivent être jetées ou récupérées, préférer le stockage
dans nos salles dans la mesure du possible, et s’assurer que
l’enlèvement est bien demandé. Typiquement, c’est le soir que l’on dépose
des objets pour enlèvement avant la porte du couloir en ajoutant un papier
demandant l’enlèvement.
En aucun cas les activités compromettantes ne doivent être visibles
depuis le couloir, quel que soit l’heure et le jour. Il n’est pas
interdit de jouer, il n’est pas acceptable que ça se voie depuis le
couloir. Par ailleurs, pour ce genre de chose faites en sorte de ne pas
tourner le dos à la porte.
2.6.3 Vigilance
Des vols ont déjà eu lieu au LRDE, et il n’y a aucune raison
pour que ça ne recommence pas. Nous sommes tous concernés, nous devons tous
être vigilants.
-
Ne laissez pas d’objet de valeur visible non attaché, surtout
près de la porte d’entrée.
- Si vous êtes au fond du labo ou dos à la porte, fermez la porte.
Si en plus vous mettez un casque, verrouillez la porte.
- Quand la salle est vide, fermez la porte.
- Les individus manifestement en train de visiter le bâtiment,
possiblement soi-disant pour chercher une machine à café, doivent
être éconduits, ou signalés au gardien. Prévenir le labo de
l’événement.
2.6.4 Accès au LRDE
L’accès au LRDE la nuit peut poser des problèmes avec les
gardiens. Il faut savoir que dans la version Courtois,
nous pouvons rester et rentrer à toute heure (i.e., aucune limitation),
et dans la version gardien de jour, seulement avant minuit (voire 22h
les nuits de pleine lune). Ce différend est récurrent...
Il existe une feuille signée par le gérant de Paritalie listant les
personnes autorisées à rentrer après 22h. Cette feuille peut être
photocopiée et présentée au gardien afin de prouver votre droit.
Pour se signaler au gardien, trois possibilités:
-
la sonnerie rue Salengro. Ce n’est pas un interphone, mais ça
sonne à l’accueil Paritalie.
- l’interphone du garage (qui sonne à l’accueil Paritalie). Le
bouton de l’interphone est dur: appuyer fort jusqu’à ce que vous
entendiez une sonnerie de téléphone (à peine audible). Parlez fort.
- le numéro de téléphone du gardien: 01 46 71 34 05
L’accès après 22h se fait par l’entrée rue Salengro, car la loge du
gardien de jour se situe près de l’autre entrée et l’oreille de
celui-ci serait sensible à l’ouverture d’un portail.
Pour minimiser les tensions:
-
ne pas sortir comme par hasard juste après que le gardien ait
fermé les grilles. Pensez à vous acheter vos sandwiches avant 22h !
- minimiser les A/R (départs/arrivées groupés etc.)
La nuit, ne pas introduire de personnes qui ne sont pas sur les listes
données au gardien. Restez plus intelligents que lui, et surtout évitez
de faire monter la tension. S’il ne veut pas vous laisser reporter les
problèmes sur la main courante, faites le sur une feuille de papier que
vous nous donnerez dès le lendemain.
2.7 Année typique
-
Janvier
-
-
Bilan et rapport d’activité du labo ; séminaire CSI ING3.
- Février
-
-
Départ des CSI ING3.
- Retour des CSI ING2 de leur stage.
- Possibilité de recrutement d’ING2.
- Mars
- Avril
-
-
Implication des permanents dans les oraux du concours Advance.
- Décider de dates pour Fontainebleau (généralement entre juin
et juillet).
- Mai
- Juin
-
-
Séminaires CSI ING1 et ING2.
- Juillet
-
-
Soutenances de stages de fin d’études.
- Août
- Septembre
-
-
Départ des CSI ING2 en stage.
- Présentation du LRDE aux InfoSup (requête de la direction).
- Octobre
- Novembre
-
-
Présentation du labo aux ING1, préparation au recrutement.
- Appel à candidatures pour le LRDE.
- Décembre
-
-
Recrutement d’ING1.
- Récupération des notes de partiels et de projets.
- QCM pour les candidats ING1.
- Un mercredi soir: recrutement.
2.8 Dépôts Git
Le labo utilise Git comme système de gestion de version. Historiquement,
Subversion (SVN) était également utilisé, mais la plupart des dépôts ont été
convertis à Git ou transformés en lecture seule.
Avant toute utilisation de Git au labo, apprenez-lui votre nom et votre
adresse e-mail :
$ git config user.name "Prénom Nom"
$ git config user.email "prenom.nom@lrde.epita.fr"
La liste des dépôts est visible sur ici : https://gitlab.lrde.epita.fr.
La première chose à faire est de demander l’accès au groupe LRDE : https://gitlab.lrde.epita.fr/lrde.
D’anciens dépôts sont encore disponible sur gitolite, l’ancien serveur git. La
liste des dépôts est accessible à l’adresse suivante :
https://svn.lrde.epita.fr.
2.9 Newsgroups LRDE
Le labo dispose d’un serveur de news (NNTP) accessible à l’adresse
news.lrde.epita.fr.
Les news sont également accessibles depuis l’extérieur, en NNTPS, avec
authentification par login et mot de passe (le même que pour le compte mail).
Voici les paramètres à utiliser:
-
serveur
- news.lrde.epita.fr
- chiffrement
- SSL/TLS
- port
- 563 (port par défaut)
2.10 ‘/lrde/doc’
Le répertoire ‘/lrde/doc’ contient diverses publications, externes ou
internes. Certains répertoires contiennent un index, ‘contents.bib’, au
format BibTeX.
2.10.1 ‘contents.bib’
Un exemple:
@InProceedings{ burrus.03.mpool,
author = {Nicolas Burrus and Alexandre Duret-Lutz and Thierry
G\'eraud and David Lesage and Rapha\"el Poss},
title = {A Static {C++} Object-Oriented Programming ({SCOOP})
Paradigm Mixing Benefits of Traditional {OOP} and Generic
Programming},
booktitle = {Proceedings of the Workshop on Multiple Paradigm with OO
Languages (MPOOL)},
year = {2003},
address = {Anaheim, CA, USA},
month = oct
}
Merci de suivre les règles suivantes dans les fichiers BibTeX. Cela
s’applique tout particulièrement à ‘bib/lrde.bib’ (dans le dépôt
git@gitlab.lrde.epita.fr:lrde/share)
qui est utilisé dans beaucoup d’endroits différents.
-
Utilisez des accolades, et non des guillemets.
- Utilisez un jeu de caractères ascii de telle sorte que
nous puissions mettre ces entrées Bib sur le Web (pour des
utilisateurs n’utilisant pas forcément Latin 1).
- Alignez les signes ‘=’.
- Mettez des retours à la ligne.
- Les clés sont author.year.conf. La clé devrait
être le nom du fichier enregistré dans le même répertoire.
- N’utilisez pas de mots en capitales, à moins que ce ne soit
absolument nécessaire.
- Le champ month doit indiquer uniquement les trois
premières lettres du mois en anglais, sans accolades.
2.10.2 ‘lrde/papers’
Ce répertoire contient toutes les publications et soumissions du LRDE.
N’y incluez pas de rapports techniques.
Le fichier ‘bib/lrde.bib’ du dépôt
git@gitlab.lrde.epita.fr:lrde/share indexe toutes ces
publications. Utilisez le champ note pour spécifier le statut du
papier: «Submitted» ou «To appear». D’autres annotations utiles
peuvent être les éventuels prix, ou «In French».
2.10.3 ‘csi’
Ce répertoire contient des documents utiles à la scolarité CSI.
On y trouve notamment les consignes de stage de fin d’étude du service
des Relations Entreprise de l’EPITA. Ce document recense – entre
autres – les points que les étudiants doivent suivre lors de la
rédaction de leur rapport, et que les correcteurs se doivent de vérifier
(plan, contenu attendu, etc.).
Ce répertoire contient également des cours d’étudiants (documents
électroniques ou numérisés), anciens ou actuels, qui peuvent être utiles
aux étudiants de CSI. Si vous souhaitez faire plusieurs copies papier
de ces cours, vous êtes invités à utiliser une photocopieuse;
l’imprimante du LRDE ne doit en aucun cas être utilisée pour des tirages
multiples de documents volumineux, a fortiori lorsqu’il
s’agit d’images.
Chapitre 3 Communication
3.1 Décharges
Nous savons tous que les règles suivantes sont stupides, mais notre
histoire nous a conduit à les décider pour éviter les problèmes
inutiles.
Lorsque vous êtes politiquement incorrect merci d’éviter toute mention
du LRDE dans votre message, pas même dans votre ‘From:’. Ceci
s’applique tout particulièrement pour les forums de l’école.
Lorsque vous faites appel à un pseudo pour ne pas mouiller le LRDE,
veuillez en prendre un de bon goût. Le laboratoire a suffisamment de
détracteurs pour que leur donner de quoi critiquer soit totalement
superflu. Ceci s’applique au contenu également: veillez à rester
corrects, même si «ce n’est pas vous qui avez commencé».
3.2 Actualités
3.2.1 Que sont les actualités
Chaque évènement (public) notable est une news. Cela inclut:
-
une nouvelle publication
- les séminaires CSI
- les journées à thème
- la sortie d’une nouvelle version
- un nouveau membre (ou stage, ou sabbatique)
- un nouveau contrat
- une nouvelle importante sur un ancien membre (par exemple,
soutenance de thèse, Prix Nobel...)
et ainsi de suite.
Chaque nouvelle doit être signalée:
-
sur nos pages
- La page News a deux buts: en plus des
nouvelles détaillées, de courts extraits sont affichés sur la page
principale. Envoyez votre texte pour publication sur le WIKI à Daniela.
- sur les newsgroups de l’école
- Si vous avez une nouvelle importante,
envoyez votre texte (en Français) à Daniela qui le postera
sur les newsgroups epita.adm.adm, epita.adm.com, and
epitech.adm.com.
- à la liste de diffusion
«annonce» (annonce@lrde.epita.fr)
- Voir
section 3.2.2.
3.2.2 Les messages d’annonce
La liste «annonce» (annonce@lrde.epita.fr) (répliquée dans
le forum annonce.lrde.epita.fr) inclut des membres de l’adm (au
moins Joël Courtois, Fabrice Bardèche et Christian Dujardin), des
anciens du labo, l’équipe communication d’EPITA, les membres du conseil
scientifique, mais aussi des extérieurs intéressés par l’actualité du
labo. La communication s’y fait souvent en français, sachant que de
toutes façons les actualités sur notre site Web sont, elles, en anglais.
Étant donné les abonnés, il faut soigner les messages. Ça signifie
par exemple inclure le résumé de l’article
(un
exemple d’annonce de publication), l’édito et/ou le sommaire pour
l’«l’air de rien», etc. N’oubliez pas de publier des URLs courtes
(section 3.6). Les étudiants doivent envoyer leur texte à Daniela pour
diffusion par elle.
Voici quelques exemples d’annonce.
3.2.2.1 Parution de l’air de rien
From: Daniela Becker daniela@lrde.epita.fr
Subject: L'air de rien 7
Bonjour,
Nous avons le plaisir de vous présenter le numéro 7 du bulletin du
LRDE.
Vous y trouverez des informations sur le travail de deux des
doctorants du labo. Et les résumés des exposés des CSI 2007: au cours
de leurs deux derniers séminaires programmés les 7 et 8 décembre 2006,
ils présenteront la conclusion de leur passage au LRDE.
Vous pouvez télécharger le bulletin en couleur à la page suivante:
http://publis.lrde.epita.fr/200611-l-air-de-rien-7
--
Daniela Becker
3.2.2.2 Publication
From: Akim Demaille <akim@lrde.epita.fr>
Subject: Publi: RIVF'07
We are pleased to announce that the following paper has been accepted
to the Fifth IEEE International Conference on Computer Sciences,
Research, Innovation and Vision for the Future (RIVF'07 --- www.rivf.org).
Stochastic routing in large grid-shaped quantum networks
https://publis.lrde.epita.fr/200703-RIVF
Cuong Le Quoc Patrick Bellot Akim Demaille
ENST ENST EPITA Research and
qle@enst.fr bellot@enst.fr Development Laboratory (LRDE)
Akim.Demaille@lrde.epita.fr
This paper investigates the problem of secret key transmissions for
an arbitrary Alice-Bob pair in Quantum Key Distribution (QKD)-based
networks. We develop a realistic QKD-based network framework and we
show that the key transmission problem on such a framework can be
considered as a variant of the classical percolation problem. We also
present an adaptive stochastic routing algorithm protect from
inevitable eavesdroppers. Simulations were carried out not only to
validate our approach, but also to compute critical parameters
ensuring security. These results show that large quantum networks with
eavesdroppers do provide security.
From: Didier Verna didier@lrde.epita.fr
Subject: Invited talk at IMECS'07
I am pleased to announce that I have been invited to speak at the next
IMECS conference, Hong Kong, March 2007. The chosen topic is given
below. A corresponding paper will be available soon.
CLOS solutions to binary methods
Impementing binary methods in traditional object oriented languages is
difficult: numerous problems arise, such as typing (covariance vs.
contravariance of the arguments), polymorphism on multiple arguments
(lack of multi-methods) etc. The purpose of this paper is to
demonstrate how those problems are either solved, or inexistent in the
Common Lisp Object System (CLOS). Several solutions for implementing
binary methods in CLOS are proposed. They mainly consist in
re-programming a binary-method specific object system through the CLOS
meta-object protocol.
--
Didier Verna, didier@lrde.epita.fr, http://www.lrde.epita.fr/~didier
EPITA / LRDE, 14-16 rue Voltaire Tel.+33 (1) 44 08 01 85
3.3 Journées Portes Ouvertes (JPO)
L’EPITA organise régulièrement des journées portes ouvertes, auxquelles le
LRDE se doit de participer. La liste des dates est disponible sur
l’Intranet LRDE, à l’adresse
https://www.lrde.epita.fr/Intra/RecrutementEpita. Les permanents
doivent se partager les tâches de présence à ces événements et s’inscrire
sur cette même page du Wiki. Les étudiants CSI sont invités à participer aux
JPO (cf. infra).
3.3.1 De l’importance des JPOs
Les JPOs ont une double importance pour le labo.
D’abord c’est par les JPO que l’école rencontre les étudiants les plus
intéressants, ceux qui feront l’avenir de notre école, de votre diplôme,
et peut-être aussi dans quelques années, du LRDE. Si vous avez foi dans
votre école, comme nous l’avons, alors vous devez sentir à quel point il
est vital qu’elle soit belle durant les JPOs. N’oubliez pas que le
discours Epitech est beaucoup plus séduisant que le nôtre: c’est plus
dur d’expliquer à un terminal que non, vraiment, il faut faire des maths
et des sciences et en chier pour être un bon informaticien quand à côté
on montre les réalisations des meilleurs et l’absence de cours
«inutiles». La santé d’EPITA n’est pas acquise éternellement, elle
doit être défendue en permanence par chacun. En interne, il faut
continuer de se battre pour corriger ses tares congénitales, en
communication externe, il faut être positif.
Le deuxième point est presque plus important encore: se joue l’image du
LRDE au sein de l’école aux yeux de l’école. Bien trop souvent
le LRDE et CSI se distinguent des autres, sortent du rang. Dans une
certaine mesure, c’est bien et c’est notre rôle. Quand c’est exagéré,
on passe pour imbus de nous-mêmes, avec un complexe de supériorité
vis-à-vis des basses besognes dont se charge le reste de l’école. Les
JPOs sont une opportunité de montrer qu’on est là, et que comme les
autres, on tient à l’école, pas seulement au labo. Alors montrez-vous
ici, montrez-vous là-bas, soyez pro-actifs: montrez aux visiteurs comme
au reste de l’EPITA que le LRDE fait cause commune.
3.3.2 Participation à une JPO
Au cours d’une JPO, les permanents et les étudiants CSI présents doivent
accueillir les visiteurs et leur présenter le laboratoire.
Essentiellement, cela recouvre:
-
activités
- Enseignement, recherche, développement ;
- CSI
- Son fonctionnement original au sein de l’EPITA (la formation
par la recherche offerte par la majeure CSI). Environ 5 CSI par promo
EPITA. Un sur deux qui va vers Master/Doctorat.
- thèmes de recherche
- Ne surtout pas rentrer dans les détails,
quelques idées suffisent (e.g., expliquer «performance et
généricité» est déjà une performance en soi). Les posters (et
particulièrement celui de galaxie) sont une très bonne aide.
- projets
- Pareil, pas de détails, mais insister sur l’aspect
pratique: quelque soit le degré d’abstraction, tout ici termine par
de l’implémentation.
- etc
- Soyez créatifs.
Quelques remarques:
-
Le labo doit être présentable, voir section 2.6.2.
- Il faut être proactif et ne pas simplement se mettre dans son coin
en espérant qu’on ne viendra pas vous ennuyer. Au contraire, il est
important de prendre contact avec les épitéens en charge des visites
pour être certains qu’ils sachent où nous nous trouvons (il y a
beaucoup d’étudiants de prépas qui ne le savent pas), et les
encourager à passer par le labo.
- L’auditoire est essentiellement constitué de gens qui ne savent
pas ce que nous faisons ⇒ expliquer de façon simple.
- Ne surtout pas rentrer dans les détails, ça ennuie rapidement.
- C’est plus sympa d’être plusieurs (versus «être tout seul»)
lors d’une JPO ⇒ étudiants CSI, n’hésitez pas à venir aux
JPO ! D’autant plus que vous êtes sans doute les mieux à même de
parler de la scolarité CSI (et de répondre aux questions des futurs
padawan !) ;
- le flux de visiteurs n’est pas constant, et certaines journées
très faible (inférieur à dix candidats) ; il est donc possible de
travailler au laboratoire en parallèle, sous réserve qu’au moins une
personne soit disponible (ou puisse interrompre son activité du
moment) afin de présenter le LRDE aux nouveaux arrivants.
3.4 Publications
3.4.1 Rédaction
-
dépôt
- Les sources des articles que vous écrivez et soumettez aux
conférences et revues doivent être stockées à un endroit raisonnable.
Nous vous invitons à créer un dépôt sur le gitlab pour chaque article.
Attention cependant, les sources des rapports CSI (et des rapports
techniques en général) doivent être placées dans le dépôt
‘lrde/techreps’ (cf. 4.4.2).
Le dépôt ‘lrde-publis’ (git@git.lrde.epita.fr:lrde-publis) est
considéré comme obsolète, mais il peut être intéressant d’y jeter un oeil,
par exemple pour savoir comment construire un Makefile complet à partir
des morceaux proposés dans ‘share’ (cf. infra). Une pratique courante
consiste à utiliser ‘share’ comme un sous-module Git du dépôt de
l’article courant.
Les articles sont identifiés par une clef de la forme ‘author.year.conf’
où ‘author’ est le nom du premier auteur, ‘year’ est l’année sur
deux ou quatre chiffres et ‘conf’ est un sigle de la conférence ou de
la revue ciblée. Vous êtes priés d’utiliser ce format d’identification lorsque
vous ajoutez un article à un document .bib du LRDE.
- share
- Le dépôt Git ‘share’
(git@gitlab.lrde.epita.fr:lrde/share) fournit
de nombreux services qui peuvent vous faciliter la rédaction en
LATEX: des styles, des bibliographies, des bouts de Makefile, etc.
Consultez ‘share/README’ pour en savoir plus.
Historiquement, ‘share’ était un sous-répertoire du dépôt
Subversion ‘lrde-publis’
(https://svn.lrde.epita.fr/svn/lrde-publis). Ce répertoire a
été converti en dépôt Git
(git@gitlab.lrde.epita.fr:lrde/share)1
et c’est ce dernier qui est désormais le dépôt ‘share’ de
référence. Les deux dépôts étaient synchronisés régulièrement, en
attendant que tous les dépôts avec une dépendance sur SVN ‘share’
aient été convertis à Git. SVN ‘share’ n’est désormais plus
accessible qu’en lecture seule.
- Institution
- Pour des raisons évidentes de référencement, il
faut faire apparaître les sigles EPITA et LRDE. Par ordre
décroissant de préférence, utilisez en français:
-
Laboratoire de Recherche et Développement de l’EPITA (LRDE)
- Laboratoire de R&D de l’EPITA (LRDE)
- Labo de R&D de l’EPITA (LRDE)
- EPITA/LRDE
et en anglais:
-
EPITA Research and Development Laboratory (LRDE)
- EPITA R&D Laboratory (LRDE)
- EPITA R&D Lab (LRDE)
- EPITA/LRDE
Les traductions dans les autres langues sont laissées en exercice pour
le lecteur. - Steve Frank
- N’hésitez pas à envoyer vos articles à
frank@epita.fr (Steve Frank). Bien sûr il faut lui laisser
un peu de temps pour travailler avec vous, du jour au lendemain c’est
rarement possible.
- /lrde/doc
- Faites une copie (de préférence en PDF) de votre papier
dans ‘/lrde/doc/lrde/papers/’, voir section 2.10.2.
Oui, il s’agit bien d’inclure ici les soumissions. Ce répertoire
n’est pas public, c’est seulement pour le LRDE.
Si vous utilisez un modèle construit avec le script
‘new-publication.sh’ du dépôt Git ‘lrde-publis’, qui repose sur
‘share’ (dépôt ‘lrde-publis-share’), vous pouvez installer votre
papier dans
‘/lrde/doc/lrde/papers/’ en utilisant make install
(voir la variable ‘papers_DATA’ du ‘Makefile’).
- lrde.bib
- Mettre à jour ‘lrde.bib’ en indiquant bien que
l’article est «Submitted» dans le champ note.
Cf. section 2.10.2.
3.4.2 Rejet
Si l’article est refusé, merci de:
-
déplacer l’article de ‘/lrde/doc/lrde/papers/’ à
‘/lrde/doc/lrde/papers/rejected/’,
- retirer l’entrée de ‘lrde.bib’,
- à votre discrétion, de mettre cette entrée BibTeX dans
‘/lrde/doc/lrde/papers/rejected/contents.bib’.
3.4.3 Acceptation
C’est l’acceptation qui est l’événement, pas la parution. Voici
les 3 étapes :
-
lrde.bib
- Mettre à jour l’entrée correspondante. Ajouter des champs
pour faciliter la mise à jour Wiki:
-
lrdenewsdate
- (obligatoire) au format ‘YYYY-MM-DD’ pour
qu’une page soit généré sur le Wiki;
- lrdeprojects
- projets (séparés par des virgules) du LRDE concerné par cette publication;
- lrdekeywords
- mots clés (séparés par des virgules);
- lrdeinc
- nom d’une page du Wiki qui sera incluse dans la page de la
publication (exemple: ‘Publications/carlinet.14.icip.inc’).
Une bonne pratique peut être d’utiliser la forme ‘Publications/bibtexid.inc’.
- lrdepaper
- URLs vers le PDF de la publication.
- lrdereport
- URLs vers le PDF du rapport.
- lrdeslides
- Idem pour les planches.
- lrdeposter
- Idem pour un poster.
- urllrde
- Ne plus utiliser.
Le fichier lrde.bib est dans le dépôt git@gitlab.lrde.epita.fr:lrde/share.git. - /lrde/doc/lrde/papers
- Ajouter une copie du papier qui porte le nom
‘clef-bibtex.pdf’ (si vous n’avez pas ce répertoire sur votre
machine, voire avec l’administrateur système).
- Annonce
- Créer une actualité et la diffuser
(section 3.2).
3.4.4 Parution
Comme pour l’étape précédente, vous pouvez simplement envoyer les
données supplémentaires à Daniela et lui demander de compléter.
-
lrde.bib
- Il faut le mettre à jour avec toutes les données de la
conf: les numéros ISBN, les pages de la parution etc.
- /lrde/dload/papers/
- Vous pouvez installer votre article dans le
répertoire ‘/lrde/dload/papers/’, pour le rendre accessible
depuis l’extérieur, et le référencer depuis la page Wiki
correspondante. Vous pouvez aussi installer du matériel
supplémentaire comme une présentation, un poster, des images ou du
code, référencés depuis le Wiki également.
Si vous utilisez un modèle construit avec le script
‘new-publication.sh’ du dépôt Git ‘lrde-publis’, qui repose sur
‘share’ (dépôt ‘lrde-publis-share’), vous pouvez installer votre
papier dans ‘/lrde/dload/papers/’ en les ajoutant à la variable
‘dload_DATA’ du ‘Makefile’ puis en exécutant make
install.
Il est déconseillé de diffuser des papiers avant leur parution
officielle (conférence, revue).
3.5 L’air de rien
L’air de rien est le bulletin du laboratoire. Il sert à véhiculer de
l’information du LRDE vers l’extérieur de façon informelle (annonces de
publications, de releases, de recrutements, de séminaires ; vulgarisation de
travaux réalisés au laboratoire ; présentation de projets internes ou
communs ; etc.).
Sa fréquence de publication n’est pas fixe. Cependant, des numéros spéciaux
sont édités en amont d’événements récurrents (rentrée de septembre,
séminaires CSI). De temps à autre, nous essayons également de publier un
numéro «spécial anciens» relatant le parcours d’étudiants CSI diplômés.
3.5.1 Rédaction
-
Rédacteur en chef
- Avant de commencer un nouveau numéro, un rédacteur
en chef doit être choisi. Son rôle est de collecter les articles du
nouveau numéro et de vérifier la mise en page de celui-ci.
- l-air-de-rien
- Le sources des numéros de L’air de rien sont stockées
dans le dépôt ‘l-air-de-rien’
(git@git.lrde.epita.fr:l-air-de-rien). Le dépôt
‘l-air-de-rien’ fournit un script ‘new-edition’ à utiliser pour
créer un nouveau numéro à partir d’un modèle (situé dans le répertoire
‘template’). Il fonctionne comme suit :
-
Si vous ne l’avez pas déjà récupéré, clonez le dépôt
‘l-air-de-rien’:
94276 Le Kremlin-Bicêtre, France Fax.+33 (1) 53 14 59 22<
$ git clone --recursive git@git.lrde.epita.fr:l-air-de-rien
$ cd l-air-de-rien
Sinon, mettez simplement votre copie à jour:
$ cd l-air-de-rien
$ git pull --rebase
- Lancez ensuite le script ‘new-edition’ en lui passant le numéro
du nouveau bulletin :
$ ./new-edition 51
Le script crée un répertoire (ici ‘51.0’) avec un squelette
de bulletin prêt à l’emploi. En particulier, il inclut une copie du
répertoire ‘share’ sous forme de sous-module Git, contenant de
nombreux outils pour la rédaction de documents avec LATEX, tels des
styles LATEX, des bibliographies BibTeX, des éléments de
‘Makefile’, etc.
- Enregistrez le nouveau numéro et poussez-le sur le serveur:
$ git ci -m "New issue: L'air de rien 51.0."
$ git push origin master
- Par la suite, vous pouvez utiliser make dans ce nouveau
répertoire pour construire votre article, make view pour
l’afficher et make clean pour tout nettoyer. La commande
make booklet produit une version livret (au format A5) du
bulletin. Enfin, make install installera le bulletin (en
versions A4 et livret A5) dans ‘/lrde/dload/bulletin’, diffusé sur
le site Web du laboratoire à l’adresse
http://www.lrde.epita.fr/dload/bulletin/.
3.6 URLs
Publiez les URLs courtes lorsqu’elles existent. Elles sont plus
élégantes, mais aussi plus robustes puisque nous sommes susceptibles de
remplacer TWiki MediaWiki dans le futur.
En particulier, évitez les URLs contenant ‘wiki’ et autres:
3.7 Séminaires CSI
Ci-dessous les instructions pour monter une session de séminaire CSI.
Elles concernent tant les orateurs que les maîtres de cérémonie
(«chairmen»).
3.7.1 Organisateur du séminaire CSI
Cette section détaille la liste des tâches pour monter un séminaire.
Elles sont à peu près présentées dans l’ordre chronologique.
-
Choix des dates
- Choisir les dates le plus tôt possible. Attention
aux autres événements (English Week etc.). Faire le préprogramme: décider
du découpage thématique, éviter les journées void *.
- Remise des sujets
- Arrêter la date de rendu des sujets de séminaire
CSI.
- Le Wiki
- Faire une page Wiki par séminaire, ‘Seminar.YYYY-MM-DD’.
Si le jour est inconnu, prendre ‘Seminar.YYYY-MM’ puis, après le
séminaire, la renommer.
Demander un résumé aux orateurs (voir section 3.7.3, l’item
correspondant).
- La salle
- Demander une salle à Pedro Miranda ; l’Amphi 3 de préférence,
car on souhaite filmer le séminaire et cet amphi est équipé pour les
captations. À mettre sur le Wiki. Typiquement réserver la salle pour
une heure avant le début du séminaire, de façon à pouvoir vérifier la
salle avant de commencer, et la garder jusqu’à 19h00 au cas où.
- Chronos
- Demander à Pedro Miranda de le mentionner dans les emplois du
temps des étudiants. Ceci est une demande de la direction.
- Le programme du séminaire CSI
- Faire un premier programme. Entre
trois exposés de 30 minutes (tout compris) mettre un quart d’heure de
pause.
Ne pas dépasser 4h-4h30 de présentation. Quand c’est une après-midi, on
commence à 14h, la fin ne doit pas dépasser 18h30.
- L’air de rien
- Faire faire les numéros spéciaux par les orateurs.
Nommer un responsable de chaque numéro.
- Le poster
- Pour la préparation du poster, il existe un script sur
lrde-csi-seminars. Envoyer le pdf à Daniela pour impression en A3. En
tirer pour le KB, VJ, mais aussi ailleurs (e.g., ENST etc.).
- J - 2 semaines: Vérification
- Vérification des points précédents.
Envoi du programme dans les news (section 3.2) et mise à jour du
site des actualités du laboratoire. Ne pas oublier la date et l’heure, le
lieu, l’URL et le programme.
- J - 1 semaine: Transparents
- Demander les transparents aux orateurs.
Avant la dernière semaine, s’assurer que tous ont bien eu au moins une
répétition avec d’autres étudiants, puis une répétition avec un permanent.
- J - 1
- Refaire une annonce. Mettre tous les transparents sur un
portable, ainsi que les transparents de présentation de la séance du jour
suivant.
- Jour J
- Le premier orateur doit être en place 15 min avant le début.
En particulier s’assurer que le vidéoprojecteur marche correctement.
- J + 1
- Demander un tirage papier des transparents pour relecture et
correction par un permanent. Lorsque les transparents ont reçu cet aval,
les mettre en ligne.
3.7.2 Sujet d’un exposé au séminaire CSI
Afin d’éviter tout malentendu entre les étudiants, les encadrants et
l’ensemble du laboratoire, les sujets d’exposé et de rapport doivent
faire l’objet d’une approbation par l’ensemble des permanents. Pour ce
faire…
-
Rédigez un sujet comprenant titre et résumé en anglais et
français. En plus du thème de travail, précisez les objectifs, de
façon la plus mesurable possible.
- Créez une entrée dans ‘csi.bib’ avec ces items. Les champs
author, title, titre, abstract et
resume doivent impérativement être renseignés. Après avoir
modifié ‘csi.bib’ et avant de faire un commit, exécutez
make neat à la racine de ‘share/’.
- Créez une impression LATEX de votre sujet à l’aide du script
share/bin/abstract (qui va lire ‘csi.bib’).
- Faites signer ce sujet par votre permanent encadrant dans les
délais (la pénalité habituelle -1pt/j s’applique).
- Remettez cette feuille à Daniela.
Ne faites pas l’erreur d’appeler votre travail un séminaire. Le
séminaire désigne la séance pendant laquelle vous ferez un exposé de vos
travaux. Le résumé que vous rédigez apparaîtra sur votre rapport et
sera aussi utilisé pour annoncer votre exposé: évitez donc d’y employer
les mots «séminaire», «exposé» ou «rapport».
3.7.3 Préparation d’un exposé au séminaire CSI
Lire aussi les sections 3.7.1 et 3.7.2. Prendre
connaissance des commentaires quant à l’écrit et l’oral,
section 3.9.
-
Sujet
- Cf. section 3.7.2.
- Nombre
- Les exposés communs ne sont pas tolérés. Vous pouvez faire
une introduction commune, et c’est même recommandé. Vous pouvez
écrire un rapport commun. Mais chaque orateur doit ensuite avoir un
temps de parole clairement démarqué.
- Durée
- Visez 20 min d’exposé, puis 10 min de questions. Vous pouvez
avoir plus de temps, mais exclusivement si vous le faites savoir très
à l’avance.
- Résumé (abstract)
- Écrivez un résumé en français et en anglais
pour le Wiki. Inclure:
-
sa durée
- son titre
- votre nom TWiki
- un résumé (accentué) de quelques lignes décrivant le contexte,
le problème, votre approche, le plan.
- quelques mots-clés.
- Préparation
- Faire de bons transparents prend beaucoup plus de temps
que vous ne le croyez. Donnez vous une semaine au moins.
N’attendez pas le dernier moment pour préparer votre exposé.
- Transparents
-
-
Faites du paysage, pas du portrait.
- Choisissez le format que vous voulez: PDF, PS, DVI, ADVI...
Mais assurez-vous que le portable le supporte.
- Utilisez exclusivement des figures en format vectoriel
(typiquement du PDF, mais pas de PNG, GIF etc.).
- Comptez en moyenne 2 à 3 minutes par transparent.
- Mettez tout sur le portable le matin du séminaire au plus tard.
- Utilisez Beamer (une classe LATEX).
- Pensez à utiliser ‘share/’ qui, entre autre, fournit le
thème Beamer KremlinBicetre prêt à l’usage.
- Écrivez vos transparents en anglais.
- Faites apparaître des numéros de transparents (pour faciliter les
questions et les corrections).
- Incluez la bibliographie dans vos transparents mais sans
nécessairement la montrer: elle est surtout là pour ceux qui liront
vos transparents depuis l’Internet.
Mettez les transparents en PDF sur Publications après
la présentation et après validation par un permanent. Vous pouvez
mettre d’autres formats en complément du PDF.
Exemples d’erreurs courantes:
-
Passer 15 min à présenter le contexte d’un projet ne laissant que
5 min sur le projet lui-même et son futur.
- Faire des transparents trop pleins qu’on n’a pas le temps de
lire.
- Lire les transparents à voix haute.
- Laisser des erreurs manifestes de style, typographie ou
orthographe. En particulier soyez sûrs d’être très mal notés si un
correcteur orthographique n’a pas été utilisé.
- Utiliser des figures denses et incompréhensibles, mais
indispensables pour comprendre.
- Mettre trop d’exemples pour illustrer une idée.
- N’avoir qu’une seule figure UML pour présenter un projet (une
figure avec 20 classes est probablement illisible).
- Montrer des bouts de code 100 colonnes, 30 lignes.
- Utiliser des couleurs pâles qui tendent vers le blanc avec
certains vidéoprojecteurs (ne vous fiez pas au rendu sur un écran).
- Utiliser des polices toutes petites.
- Répétitions
- Faites plusieurs répétitions quelques jours avant
avec des étudiants. Après avoir tenu compte de leurs commentaires,
faites une répétition avec un permanent. Faites ça en avance: on ne
conseille à personne d’apprendre le matin du jour J que l’exposé n’est
pas bon.
3.8 Journées thématiques
Préparer des évènements comme OlenaDay, VcsnDay etc. en n’oubliant rien
nécessite une liste de contrôle. Elle est destinée aux:
-
Orateurs
- Les personnes qui vont vraiment s’occuper de la partie
enseignement.
- Organisateurs
- Les personnes qui vont faire en sorte que les
orateurs puissent faire et fassent leur travail.
Pour l’instant, lisez seulement les sections correspondantes pour les
séminaires CSI: sections 3.7.1 et 3.7.3.
3.9 Faire de bonnes publications
Une lecture attentive de cette section est indispensable avant de
rédiger un rapport ou article, mais également en phase de relecture: de
nombreuses erreurs courantes y sont consignées. Produire un rapport
avec certaines de ces erreurs est un moyen sûr d’obtenir une note
exécrable.
3.9.1 Avant propos
Écrire n’est pas aisé, et nous avons tous fait les mêmes erreurs. Ce
n’est pourtant pas une fatalité pour peu que vous prêtiez attention à
éviter les erreurs les plus classiques, et que vous suiviez les guides
qui suivent.
Une fois ces propos bien compris, vous êtes invités à consulter d’autres
sources, telles que:
-
Guide d’écriture pour les jeunes auteurs – ACM
-
http://web.archive.org/web/20100528233157/http://www.acm.org/crossroads/doc/information/wg/text.html
- Academic Writing for Graduate Students
- Livre disponible dans la
bibliothèque du LRDE.
- The Elements of Style – William Strunk Jr., E.B. White
- Published
by Pearson Allyn & Bacon; 4th edition (January 15, 2000); ISBN:
020530902X.
Ce petit livre (105 pages) est parfait pour les personnes qui veulent
améliorer leur prose anglaise. Il est assez célèbre, et, en plus de
fournir des règles d’écritures utiles, il contient des règles qui sont
littérairement intéressantes ! Par exemple “The writer must,
however, be certain that the emphasis is warranted, lest a clipped
sentence seem merely a blunder in syntax or in punctuation”.
Vous pouvez trouver la plus courte
First Edition of The Elements of
Style en ligne.
- Mathematical Writing – Knuth et al
- Ce livret archive le cours
d’Écriture des Mathématiques donné par Don Knuth à Stanford en 1987. Parmi
les 31 cours apparaissent comme invités Herb Wilf, Jeff Ullman, Leslie
Lamport, Nils Nilsson, Mary-Claire van Leunen, Rosalie Stemer, et Paul Halmos.
Le livre est à la bibliothèque du LRDE. Une version est disponible
sur le net:
Mathematical
Writing – Knuth et al.
- Writing Advice for Students
-
http://www.clt.mq.edu.au/~rdale/resources/writingnotes/index.html
3.9.2 L’écriture de papiers et de rapports
Il est très important de prêter beaucoup d’attention à la qualité de vos
écrits. La plupart des lecteurs sont d’abord sensibles au style, à la
clarté, et la concision; avant même d’essayer de comprendre ce que vous
écrivez. Et effectivement, c’est plutôt naturel. Voici quelques conseils
sur la manière d’écrire vos papiers et vos rapports de sorte à ce que
vous ayez effectivement des lecteurs…
3.9.2.1 Plan d’un rapport
Vos écrits doivent être bien structurés, sémantiquement parlant. Cela
implique que les choses n’iront probablement pas par ordre
chronologique. Essayez plutôt d’imaginer les attentes d’un lecteur
néophyte: quel est le but / la direction globale du travail, quels sont
les différentes étapes à effectuer etc.
Voici le plan typique à suivre pour les rapports CSI.
-
Titre
- Il doit être compréhensible et décrire le contenu du
rapport. Évitez les phrases.
- Abstract/résumé
- De l’ordre de 10 lignes chacun, ils introduisent
le domaine, la problématique et la contribution du rapport. Il s’agit
d’un résumé pour l’humain pressé qui doit comprendre rapidement si ce
rapport le concerne ou pas.
- Table des matières
- \tableofcontents.
- Autres tables
- Uniquement si c’est pertinent, vous pouvez
inclure une table des figures, tableaux etc.
- Introduction
- D’une à plusieurs pages selon qu’elle contient ou
non l’état de l’art.
Elle doit comprendre les parties suivantes:
-
Introduction
- Une introduction avec le contexte général de votre
travail, une description des problèmes auxquels vous voulez répondre
et comment vous y répondez.
L’introduction doit capturer le lecteur et lui donner envie de lire
la suite. Elle doit donner assez d’informations pour que celui-ci
puisse comprendre l’intérêt de votre travail et la portée de vos
résultats.
- Contributions
- Une liste explicite et synthétique de vos
contributions. Annoncer à l’avance au lecteur les résultats
importants que vous avez obtenus: un article scientifique n’est pas
un roman à suspense.
- Plan
- Annonce du plan du rapport, typiquement une phrase par
chapitre.
- Remerciements
- Tout rapport doit être relu avant rendu.
Remercier ici les CSI qui vous ont relu et corrigé avant soumission
aux permanents.
- Contexte/État de l’art
- Présenter plus en détail le cadre de
travail, la problématique, et l’existant. C’est d’ici que doivent
partir la plupart des références bibliographiques. S’il y a des
prérequis, des notions que devraient connaître le lecteur, c’est ici
(ou en annexe) qu’il faut les mettre. Vous êtes invités à maintenir
dans chaque projet une collection de morceaux de texte prêts à
l’usage. Par exemple le projet a souvent besoin de revenir
sur les bases des transducteurs; il est alors stupide de taper à
nouveau cette introduction. Il vaut mieux maintenir une base commune,
et clairement faire apparaître ses auteurs.
- Corps du document
- La substantielle moelle de votre travail.
Autant de chapitres que nécessaires pour articuler votre présentation,
en commençant généralement par les questions bibliographiques. Si
votre document se compose de plusieurs parties indépendantes, il est
acceptable de disséminer le contenu bibliographique dans les
différents chapitres auxquels ils appartiennent.
- Mesures
- Analyses de complexités, résultats des campagnes de test,
benchmarks, comparaison avec d’autres outils.
- Discussion
- Comparaison avec d’autres. Peut être faite en trois
temps:
-
Previous Work
- Ce qui a déjà été fait auparavant. Rejoint
l’état de l’art. Les deux sections ne sont pas nécessaires.
- Related Work
- Ce qui est analogue, ce qui inspire, mais n’est
pas tout à fait la même chose.
- Future Work
- Ce que vous comptez faire par la suite.
- Conclusion
- Quelques paragraphes. Une conclusion qui résume
clairement le contenu de votre rédaction, dans le même ordre que le
contenu présenté était détaillé. La conclusion doit ensuite mettre
l’accent sur les principaux intérêts / fonctionnalités de ce que vous
avez présenté et mettre en avant votre travail.
Ne pas se contenter de faire une resucée du résumé. D’ailleurs, ce
n’est pas une «synthèse», c’est une «conclusion». En d’autres
termes, ne pas s’arrêter à un résumé de l’article, mais finir en
ouvrant le débat: quelles pistes restent encore à explorer, quels
nouvelles questions ou problèmes se posent, quels autres sujets
semblent liés etc.
- Bibliographie
- Voir section 3.9.2.3.
- Annexes
- Listings trop longs, graphiques en séries (e.g. pour les
mesures de performance), etc.
- Index
- Inclure un index. Les indexes font
généralement la différence entre un livre que l’on ne lit qu’une fois,
et un livre que l’on peut lire plusieurs fois.
3.9.2.2 Organisation
-
Du général au détail
- Allez toujours du général vers le
détail. N’ayez pas peur d’être redondant de temps en temps. Cela ne
signifie pas qu’il faut redire les choses différemment dans le même
paragraphe; ce serait inutile. Mais de temps en temps, il est
agréable de revoir une chose qui a été vue dans un chapitre
précédent, quand elle est nécessaire pour comprendre ce qui vient
après.
- Structure claire
- Faites en sorte que la structure et la logique
de votre document apparaisse toujours très clairement. Il doit
toujours y avoir une raison logique de passer d’une section à une
autre. S’il n’y en a pas, alors quelque chose ne va pas avec votre
raisonnement. La majorité des articulations structurelles doivent
aussi être explicites. Par exemple, le lecteur apprécie beaucoup un
court paragraphe disant quelque chose tel que "Dans le chapitre
précédent, nous avons vu ceci et cela. Cela amène telle et telle
questions, ce qui est le sujet de ce chapitre". Autrement dit, ne
laissez pas l’utilisateur deviner votre structuration. Dites-lui
explicitement comment elle s’organise.
- Contributions
- Faites toujours apparaître clairement ce qui est
votre travail, et ce qui provient de la bibliographie. Cela va aider
le lecteur à saisir l’intérêt de ce qu’il lit : où est la nouveauté,
quel est l’actuel état de l’art.
- Prérequis
- Faites toujours apparaître très clairement les
pré-requis, et aussi tôt que possible : si une certaine connaissance
est requise pour pouvoir lire votre document, dites-le, et fournissez
des références. Encore une fois, cela est vrai même pour ce qui vous
semble évident. Si vous supposez que le lecteur a une connaissance
rudimentaire de la syntaxe d’OCaml, ne le présumez pas. Dites-le.
- Le début à la fin
- Écrivez l’introduction et la conclusion en
dernier. N’écrivez le résumé que lorsque tout le reste est écrit. Le
résumé devrait venir plutôt facilement lorsque le document est écrit,
excepté le fait que vous devez résumer un chapitre entier en une seule
phrase bien sûr.
3.9.2.3 Bibliographie
-
Conséquente
- Incluez toujours une bibliographie conséquente, même
pour les choses que vous trouvez évidentes. Rien n’est évident pour
tout le monde, et il vaut mieux avoir trop de références que pas
assez.
- Classez
- En cas d’équivalence, préférez dans l’ordre décroissant
article de revue, article de conférence, rapport technique.
- Promotion
- Il faut promouvoir les articles existants. Dans le cas
de Transformers par exemple, c’est une erreur de ne citer que les
rapports techniques: faire au moins référence aux publications
existantes.
- URLs
- Ne disséminez pas les URLs un peu partout dans le document:
elles sont aussi à inclure dans la bibliographie.
- Wikipedia
- Les URLs pour Wikipedia doivent, bien sûr, inclure la
révision. Utilisez l’entrée BibTeX fournie en cliquant sur «Cite
this article».
- Information non publique
- Si vous voulez faire référence à un
travail non publié (un exposé informel, une conversation téléphonique
etc.), inscrivez-le dans votre bibliographie et citez-les.
- Complétude
- Décrivez complètement vos entrées: se contenter du
nom de l’auteur et du titre ne convient pas. Il est bien trop courant
de ne pas avoir les numéros de pages, le numéro ISBN etc.
- Rapports techniques
- Les rapports techniques doivent être
complètement qualifiés, en particulier numéro, mois et année.
- Abréviations
- On rencontre parfois des abréviations pour les
conférences ou revues les plus connues. Évitez d’utiliser ces
abréviations.
- ‘share’
- ‘share/bib’ fournit un moyen cependant de faire
des références aux conférences et revues communes de façon à ce que
l’on puisse utiliser ou bien la version longue, ou bien l’abréviation
communément admise. Consultez ‘share/bib/acronyms.bib’ et
‘share/bib/acronyms-abrv.bib’.
- Maintenez ‘share’
- Utilisez les bibliographies de
‘share/bib’, et maintenez-les. Cela signifie qu’il est en
général incorrect d’avoir votre propre fichier
‘article.bib’ dans votre dépôt: exploitez, complétez ceux de
‘share’, voire créez-en de nouveaux.
- natbib
- Nous recommandons d’utiliser ‘natbib’ et ses
commandes
\citep
ou \citet
(lire sa documentation).
Voici quelques exemples: \citet{jon90} | ⇒ | Jones et al. (1990) |
\citet[Chap.~2]{jon90} | ⇒ | Jones et al. (1990, Chap. 2) |
\citep{jon90} | ⇒ | (Jones et al., 1990) |
\citep[Chap.~2]{jon90} | ⇒ | (Jones et al., 1990, Chap. 2) |
\citep[see][]{jon90} | ⇒ | (see Jones et al., 1990) |
\citep[see][Chap.~2]{jon90} | ⇒ | (see Jones et al., 1990, Chap. 2) |
\citet*{jon90} | ⇒ | Jones, Baker, and Williams (1990) |
\citep*{jon90} | ⇒ | (Jones, Baker, and Williams, 1990) |
- Groupez
- Lorsque vous citez plusieurs références au même endroit,
n’utilisez qu’une seule commande :
\citep{geraud.05.ismm,geraud.04.jasp}. Attention, pas
d’espace après la virgule.
- Style apalike
- Utilisez un style qui utilise les noms des auteurs
dans les références dans vos rapports. À la rigueur, vous pouvez
également utiliser un style numérique en crochets carrés (e.g., [1],
[12] etc.) dans les rapports, mais ce n’est pas ce que nous préférons.
Mais
-
Ne pas utiliser le style (1), (12).
- Ne pas panacher comme dans [1], [12], [at&t].
- Numérique indésirable
- Si en dépit de votre requête pour un style
de référence en lettre votre sortie est numérique, c’est peut-être
parce que l’une de vos entrées n’a pas d’année. Dans ce cas,
natbib bascule en numérique, puisqu’il n’est pas possible
d’utiliser auteur+année.
- \chapter
- Ne créez pas un nouveau chapitre pour la
bibliographie (\chapter), \bibliography le fait pour
vous. Ne la mettez pas non plus en annexe.
3.9.2.4 Références
Cette section traite de \ref et consorts. En ce qui concerne
l’utilisation de \cite etc., voir section 3.9.2.3.
-
Référence avant
- Dans la mesure du possible, évitez de faire
référence à des figures etc. qui apparaissent plus loin dans le
document. De façon modérée, on peut renvoyer à des sections plus
éloignées. Pas de contrainte pour les annexes, ni pour annoncer un
plan.
- Figure 1
- En anglais, mettre une majuscule aux noms propres et
ce qui est utilisé comme un nom propre. C’est pour cette raison qu’on
écrit «See Figure 2», «in Table 3», «according to Definition
4» (ils jouent ici le rôle de noms propres), mais «in the next
section», «in the following definition» etc.
- \vref
- Varioref est un paquetage LATEX séduisant: il
produit également le numéro de la page. Cependant son utilisation
intensive est assez lourde à la lecture. Nous ne le recommandons pas.
- \cref
- Ne pas utiliser \ref, mais
\cref{label} (cf. la doc de cleveref) plutôt
que ‘Section \ref{label}’ pour que l’ensemble soit
cliquable. Valable pour tous les types de label: section, figure,
tableau etc.
Passer l’option ‘nameinlink’ (et ‘french’ si c’est le cas)
au chargement de cleveref. Pour s’assurer d’une numérotation
unique pour tous les types de «théorèmes», adapter ce qui suit. Ne
pas utiliser \newtheorem avant d’avoir importé cleveref.
% cleveref, a replacement for autoref that allows to use newtheorem, *and*
% to use a unique counter for theorem, definition, and the like. If you do
% that with autoref, all the \autoref{...} appear as "Theorem ..." (instead
% of "Definition ..." for instance).
\usepackage[french,nameinlink]{cleveref}
% Mathematical environments. Let's have a single counter per chapter,
% to make it easier to find an item.
\newtheorem{theorem} {Théorème}[chapter]
\newtheorem{definition} [theorem]{Définition}
\newtheorem{exercise} [theorem]{Exercice}
\newtheorem{lemma} [theorem]{Lemme}
\newtheorem{proposition}[theorem]{Proposition}
\crefname{exercise}{exercise}{exercises}
Avec cleveref, ne pas utilisez ‘:’ dans les labels, mais
‘.’.
Pour convertir:
git grep -E -l 'autoref|label|ref' |
xargs perl -pi \
-e 's<(\\(?:autoref|label|ref)\{.*?\})>
< ($r = $1) =~ s/:/./g; $r =~ s/autoref/cref/g; $r >ge'
Comparé à \autoref, \cref sait prendre en compte
correctement les différents types de théorème même s’ils utilisent les
mêmes compteurs, il sait gérer les pluriels (‘voir les
\cref{sec.foo,sec.bar}’), etc.
- Subsubsection
- Ne pas tomber dans l’excès de «Subsubsection
2.1.2», «Subparagraph 2.1.2a» etc. La seule utilisation de
«Section» suffit: «Section 2.1.2», «Section 2.1.2a» (on garde
«Chapter II.2» ou «Part I» bien entendu).
- Compteurs
- Utiliser une numérotation unique pour
tableau, figure, listings etc. Il est insupportable de chercher la
figure 3.2 entre les tableaux 3.5 et 3.6. Pour fusionner les
compteurs, incluez le code suivant dans votre préambule, et
ajustez-le.
% Use the counter of figures for tables and algorithms.
\let\c@table\c@figure
\let\c@algorithm\c@figure
- \caption puis \label
- N’oubliez pas qu’un \label
dans un flottant doit être après son \caption, sinon vous
ferez référence au numéro de la section courante.
- myhyperref
- Le paquetage ‘share/style/myhyperref.sty’ fournit
une version améliorée de \autoref qui produit en général le
résultat attendu. Les options ‘colorlinks,
citecolor=blue, linkcolor=blue, hyperindex, backref,
breaklinks=true’ améliorent le rendu.
3.9.2.5 Figures, notes de bas de pages, etc.
Ce que l’on appelle un environnement flottant sont les
portions (e.g., figure ou table) que LATEX est
libre de placer indépendamment du corps du texte.
-
Vectoriel
- Ne faites pas de schémas en format bitmap, les pixels
finissent toujours par se voir. Travaillez avec des outils vectoriels
(e.g., Dia, Inkscape, OmniGraffle, XFig, ...) et exporter PDF.
L’utilisation de ‘share/’ et en particulier
‘share/make/pdf-figs.mk’ aide à mécaniser ces conversions.
- Numéroté
- Si vous avez besoin de faire plusieurs fois référence à
une figure, une définition, un extrait de code, c’est le signe qu’il
vaut mieux faire une figure, ou faire appel à un
environnement de type definition.
- Compteurs
- Il est extrêmement désagréable qu’un
document manipule plusieurs compteurs: retrouver la définition 1,
différente du théorème 1, de la proposition 1, de la notation 1, du
corollaire 1 etc. tend au supplice. De même, merci de n’avoir qu’un
seul compteur pour les flottants: il ne devrait pas y avoir
simultanément une figure 1, un tableau 1 et un algorithme 1.
Cf. l’item correspondant dans la section 3.9.2.4.
- En ligne vs. flottant
- Si la figure fait partie du discours, si
le texte ne se comprend pas sans regarder la figure ou lire le code
correspondant, alors il est sans doute plus adéquat de la mettre en
ligne à l’endroit précis où elle est attendue.
Si la figure est une illustration qu’on peut lire indépendamment du
texte, faites-en un flottant. Il est alors plus agréable de les
avoir en haut d’une page.
- Légende des flottants
- On voit souvent des
figures incompréhensibles parce que la légende est incluse dans le
corps du texte. Parfois même cette légende pollue le texte ! Dans
ces cas-là, ne pas hésiter de faire de longues légendes, en rendant
ainsi texte et figure relativement indépendants.
- Listings
- Les gros morceaux de code sont
totalement inutiles — ils sont même nuisibles — dans le corps du
texte. À une étape donnée de votre discours, seule une petite
partie du code est liée au message que vous essayez de faire passer.
Mettez donc quelques lignes en exergue, et si nécessaire, renvoyez
la version intégrale en annexe.
- Parenthèses vs. notes de bas de page
- Une note de bas de page et
une mise en parenthèse n’ont pas la même fonction: un contenu entre
parenthèses se lit dans le flot du texte tandis qu’une note de bas de
page se lit après (notez que la position physique d’une note de
bas de page est disruptive). En conséquence, une note de bas de page
doit pouvoir se lire toute seule. Si elle définit un mot, reprendre
celui-ci dans la note.
- Finition
- Si au cours de la rédaction il est contre-productif de
se préoccuper du placement des figures, il faut néanmoins faire un
effort pour le lecteur dans la version livrée. Chercher des figures
trois pages plus loin est extrêmement désagréable. Le paquet
afterpage peut aider: ‘
\afterpage{\clearpage}
’ produit
une page pour vider les flottantes non placées. - Environnements «Théorème»
- Utiliser librement les
environnements de type théorèmes proposés par LATEX. Dans ce cas,
assurer une numérotation unique, voir l’item sur \cref dans
section 3.9.2.4. Donner un titre à ces environnements (nom de ce qui
est défini, nom du théorème, etc.). Utiliser \dfn dans les
définitions pour démarquer le mot défini (en plus de changer la casse,
il prépare l’indexation).
- Preuves
- Correctement baliser les preuves dans un environnement
dédié commençant par «Preuve» et finissant par \qed. Une
taille de police plus petite avec une marge légèrement supérieure aide
à retrouver la structure du document. Envoyer les preuves longues en
annexe, sans oublier d’y référencer l’énoncé du corps de texte ici
prouvé.
3.9.2.6 Mathématiques
-
Cohérence
- Garder des notations constantes dans tout le document!
- Bon goût
- Faire preuve de bon goût en écrivant des mathématiques.
Le mathématicien prête autant attention à l’indentation que
l’informaticien: s’assurer que les énoncés ne sont coupés en fin de
ligne.
- eqnarray
- Les jeux d’équations, de définitions, de relation
etc. doivent être alignées sur le symbole de relation. Utiliser les
environnements eqnarray et eqnarray*.
- Identificateurs
- Attention la concaténation de lettres en mode
maths désigne un produit: ‘$xy$’ parle du produit de x
et de y, pas d’un nom de deux lettres. Utiliser \mathrm et
consorts pour les identificateurs longs. Comparer efficiency et
efficiency.
3.9.2.7 Style
-
Première Personne
- En règle général, on n’écrit pas à la
première personne du singulier. Même si l’on est seul, la première
personne du pluriel passe mieux. On peut parfaitement faire des
périphrases telles que «dans un article précédent, le premier
auteur a…». Dans certains cas, la première personne du
singulier est adaptée, pour marquer votre contribution majeure par
exemple, mais certainement pas pour écrire «In the first section
I show that…».
De la même façon on ne s’adresse pas au lecteur avec des «you».
- Pas d’oral
- Pas de tournures plutôt orales, genre «pretty good
results». D’une façon générale exclure également «we talked
about» etc.
- Pas de flou artistique
- Des mots comme «very» sont
dangereux: ils soulignent le flou artistique dans lequel vous drapez
votre indécision.
- Découpage…
- N’ayez pas peur de couper vos écrits. Chapitres,
sections, sous-sections et paragraphes sont nécessaires; n’ayez pas
peur d’en avoir beaucoup. Si vous finissez avec 3 pages de texte sans
découpage apparent, il y a probablement quelque chose qui ne va pas ou
qui manque dans votre structuration.
- …mais pas trop !
- D’un autre côté, attention à la
sur-paragraphisation. Si un texte monobloc est illisible, une
succession de paragraphes de deux lignes l’est tout autant. On a
coutume de dire qu’un paragraphe doit correspondre à une idée (et son
développement). Une seule et unique phrase ne peut donc en aucun cas
constituer un paragraphe.
- Numérotation des sections
- Avoir beaucoup de niveaux de découpage
ne veut pas dire que vous devez tous les numéroter ! Quatre niveaux de
numérotation sont probablement déjà trop. Souvenez-vous que vous avez
une commande \paragraph en LATEX.
3.9.2.8 Langage
-
Restez concis: écrivez des phrases courtes et utilisez des
connecteurs logiques. N’essayez pas d’être trop littéraire, vous êtes
en train d’écrire un document scientifique. Une phrase de quatre
lignes est trop longue. Vous devez la divisez.
- Pour l’écriture en anglais, le dialecte traditionnel est
l’anglais américain. Merci de rester cohérent dans votre document, ne
passez pas de l’un à l’autre. Voici quelques spécificités de l’anglais
américain:
-
vous devez écrire «honor», et non «honour» ;
- vous devez écrire «specialization», et non «specialisation» ;
- ...
- Pour l’écriture en anglais, faites attention aux faux amis et aux
expressions idiomatiques. Si vous essayez d’être (trop) littéraire en
imitant un joli style français, vous avez fondamentalement tort. Ils
ne traduisent jamais comme vous pensez qu’ils le font. Prenons un très
bon exemple d’un rapport de 2003 (exercice: devinez lequel): «Among
other things, were developed improvements relative to typing». Cette
phrase est triplement fausse: premièrement, la virgule est inutile
puisqu’il n’y a aucune entité logique à séparer du reste.
Deuxièmement, c’est une traduction mot-à-mot du français, mais cela
n’est pas correct en anglais: le sujet ne peut être après le verbe
qu’en de très rares occasions. Je reconnais que cela rend bien en
français, mais cela ne marche tout bonnement pas en anglais. Enfin, le
mot «relative» n’est pas un très bon choix (bien que correct).
«related» est un meilleur choix en anglais («relative» peut aussi
signifier un membre de la famille). section 3.9.3.
- Par pitié, utilisez au moins un vérificateur d’orthographe, et
relisez votre document au moins 3 fois avant de le soumettre à
d’autres personnes. Vous devez laisser passer un peu de temps entre
chaque relecture car nous avons une tendance à ne pas voir des fautes
évidentes quand elles sont encore «chaudes». C’est incroyablement
difficile et douloureux de devoir lire un document mal écrit, mais
lorsqu’il s’agit de fautes d’orthographe évidentes, cela s’avère tout
simplement impossible. On ne peut pas se concentrer à la fois sur le
sens et le déchiffrage.
- Pendant la phase finale de relecture, ne vous concentrez pas sur
le contenu. Il est trop tard pour ça. N’essayez pas de comprendre ce
que vous avez écrit. Faites attention à la grammaire et à
l’orthographe. La plupart des fautes qui ne sont pas remarquées sont
dues au fait que les gens ne réalisent pas qu’il y a plusieurs
manières de lire un document.
3.9.3 Erreurs d’anglais communes
Cette section est dédiée à la mémoire de la langue anglaise, si souvent
massacrée par les Français. La structure de ce document est loin d’être
claire pour le moment, mais son contenu est bien défini: toute faute
qui a été repérée plusieurs fois dans nos documents.
Ce document contient des mots mal orthographiés, des phrases mal
construites et ainsi de suite. Merci soit de rayer la version
incorrecte, soit d’y apposer une étoile (*) (le standard utilisé par les
linguistes).
3.9.3.1 Verbes irréguliers
Voir Complete List of
English Irregular Verbs by Susan Jones, particulièrement
leur liste.
3.9.3.2 Formes spéciales
3.9.3.3 Ponctuation
-
N’en abusez pas (guillemets, parenthèses, texte en gras ou italique).
- Pas d’espace devant les ponctuations anglaises («?», «!
», «,», «.», «;», «—»).
- Deux espaces derrière le point final de phrase en anglais (c’est
plus joli en français, mais ce n’est pas la norme).
- Une espace devant les ponctuations composites en français («?
», «! », «;»).
3.9.3.4 Pluriels
- Beaucoup de mots sont indénombrables en anglais, à l’instar
de milk, water, etc. (Il s’agit le plus souvent de formes
partitives.)
-
advice (a piece of advice)
- software
- syntactic sugar («* syntactic sugars»)
- information («* informations»)
- data («* datas», en fait data est déjà pluriel, la forme
singulière, assez pompeuse, est datum)
- Certaines terminaisons invariables en français ne le sont pas en
anglais:
-
one canvas, several canvases
- one syntax, several syntaxes
- Bien sûr, les adjectifs n’ont pas de forme plurielle:
-
efficient algorithms
- «* efficients» algorithms
- La même règle s’applique aux noms utilisés en tant qu’adjectifs:
-
type declaration lists
- «* type declarations lists»
- «* types declarations lists»
- Porter une attention spéciale aux cas suivants, où être un
adjectif fait toute la différence:
-
an 8-bit machine
- «* an 8 bits machine»
- a 22-year-old boy
- «* a 22 years old boy»
- a boy 22 years of age
- a boy 22 years old
- Faites attention à ce qui suit, cela diffère du français:
-
they took off their hats (even though they only wear one)
- «* they took off their hat»
3.9.3.5 Noms propres
Les noms propres ont toujours une majuscule, y compris leur adjectifs
correspondants: Boolean, Cartesian, etc.
3.9.3.6 Noms communs
-
to aim at doing
- Préférer «to work toward doing something».
- to allow s.o. to do sth
- on ne peut pas laisser tomber le
«s.o.». «* It does not allow to do something», «It does
not allow one to do something».
- allow
- «to allow someone to do something»
Ne dites pas «* This property allows this and this». Utilisez
«offers» ou «enables the programmer to» à la place.
- authentication
- et non «* authentification» (pas de ‘fi’)
- Boolean
- et non «* boolean» (section 3.9.3.5).
- Cartesian
- et non «* cartesian» (section 3.9.3.5) ou
«* Carthesian».
- contrary to
- Préférer «unlike (something)».
- a «* critical» problem
- préférez crucial, decisive
- to depend on
- et non pas «* dependant of».
- disambiguation
- et non «* disambiguization»
- everybody
- est singulier, au contraire de «people». Tears for
Fears chante «Everybody wants to rule the world». «Each, every, either,
neither, many a, a person, and compounds of body, one, and thing are
singular and take a singular verb.»
- finite
- se prononce «FAÏ-naïte» (comme «PHI night»), au contraire
de «infinite».
- infinite
- se prononce «INN-fi-nit», au contraire de «FInite».
- literature
- et non «* litterature» au contraire du français
«littérature»
- people
- est pluriel lorsqu’il se réfère à un ensemble d’individus.
Depeche Mode chante «People are people, so why should it be»...
- relevant
- signifie «having importance, influence.»
- semantics
- «the semantics of lambda calculus», et non «* the
semantic of...».
- theoretical
- et non «* theoric», «* theoritic» etc.
- usual
- lui préférer «common» ou «standard».
- «* it is not the case»
- Utiliser «it is not so» or «It is the case that ...».
- in the same way
-
- the same ... AS ...
- but similar TO
- thanks to
- = «due to», «as a result of».
- precise
- n’est pas un verbe. Utilisez «specify», «point
out» à la place.
- a large amount
- utilisez many ou a great number à la place.
- different from
- préférez «other that».
- implies
- est vague, préférez «leads to» ou «results in».
- intend
- «* this work intends to» est faux. someone
(not something) intends to do something. Utilisez «the intent of
this work», «the objective of».
- «* a need of»
- Préférez «a need for» (need for speed) or «need of» without article.
- need be
- «I can be available 24 hours per day, if need be.» meaning if there is a need that I be available.
- indeed
- N’en abusez pas. «It is indeed the case.» meaning that it is the case even if you doubt(ed) it, or perhaps even if it surprising.
- «* evocate»
- Préférez evoke.
- inasmuch as
- signifie «dans la mesure où».
- issue
- Ce mot a une connotation politique. Ne l’utilisez pas pour
dire «problem».
- remind
- «to remind someone of something».
- in terms of
- terms est pluriel.
- thereby
- in that way
- somehow
- by some means (not designated)
- from a point of view
- et non «* from the point of view».
- nice
- est trop imprécis. «* nice error messages»,
«informative error messages».
- used to + verb
- something was true in the past: «I used to eat meat, but I don’t anymore.» = It was true in the past, but is not true now.
- used to + noun/gerund
- accustomed to: «I’m used to his insults.» or «I’m used to hearing his insults.» = I’ve grown accustomed to hearing his insults. vs «I used to hear his insults.» = In the past I heard them, but I no longer hear them.
- anymore vs. any more
- «I don’t want any more children» = I have enough children, I don’t want another one. vs «I don’t want children anymore.» = I used to want children, but I changed my mind.
- however
- «It used to be true; however, it is not longer the case.» (followed by a comma) vs. «I’ll take however many you can give me.» Not followed by comma.
3.9.3.7 Faux amis
Chapitre 4 La scolarité CSI
4.1 Le recrutement
Le LRDE recrute des étudiants de première année du cycle ingénieur
d’EPITA pour le début du 2nd semestre en février. Il arrive parfois que
des étudiants de deuxième année soient recrutés. Dans les deux cas,
intégrer le LRDE signifie choisir la majeure CSI en ING2, et
réciproquement.
Ce recrutement se fait sur dossier et sur entretien, par cooptation.
Une fois le recrutement effectué, les jeunes doivent:
-
lire ce document et se souvenir que certaines parties seront à
relire (par exemple celles sur la rédaction)
- lire les forums principaux du laboratoire:
-
lrde.general
- lrde.system
- lrde.csi
- lrde.projet.* selon votre projet
(vcsn etc.)
- élire un délégué et le faire savoir
- faire en sorte que les CSI n’appartiennent qu’à un seul groupe de
promotion (A ou B): il faut maximiser les périodes où tout le
laboratoire est disponible
- se décharger de toute activité le mercredi dans la mesure du possible
4.2 La majeure CSI
La majeure CSI a été créée afin que les étudiants du LRDE suivent une
majeure en concordance avec leurs activités du laboratoire. Néanmoins, cela
ne résout (sic) rien, bien au contraire.
La création de CSI visait aussi à résoudre les interactions problématiques
entre les majeures (feu les options de spécialisations) habituelles et le
LRDE, mais il reste des interactions problématiques
avec le Tronc Commun.
Dans la suite, nous mélangerons librement LRDE et CSI, l’un à la place
de l’autre et vice-versa; néanmoins, par rapport à l’EPITA, CSI ne
désigne pas les étudiants de première année.
4.2.1 Communication
Des médias officiels existent:
-
le newsgroup ‘lrde.csi’
- la liste de diffusion ‘année@lrde.epita.fr’
Bien que vous ne soyez pas obligés de les utiliser, vos professeurs et
vos superviseurs utiliseront ces médias quand ils voudront envoyer des
informations au groupe.
De plus, quand vous êtes chargés de chercher des renseignements sur
l’organisation de votre cursus, les résultats de votre recherche doivent
être postés là: cela sert à la fois à informer vos camarades et à être
utilisé comme référence pour les étudiants des années suivantes.
4.2.2 Administration
Soyez vigilants et surveillez les notes qui sont données aux autres, et
pas à vous. S’il manque des notes, contactez le responsable CSI.
Soyez aussi très vigilants sur les emplois du temps. Si aujourd’hui ils
sont assez stables, ils restent susceptibles de modifications tardives.
4.2.2.1 Dispenses, équivalences
Les étudiants du LRDE suivent la majeure dédiée, CSI. Selon
l’interlocuteur, un ING1 du LRDE appartient ou n’appartient pas à
CSI. De fait, du point de vue du labo il s’agit bien d’une
majeure qui démarre dès l’ING1, avec un cursus alternatif, différent, de
celui commun aux autres majeures. Une formation par la recherche, qui
repose en grande partie sur le travail mené au sein du labo, sur les
différents thèmes de recherche et de développement.
Cependant, les cursus aménagés «n’existent» administrativement
qu’à partir de la seconde année, par conséquent la première année est un
peu bâtarde: vous êtes notés à l’aune de votre travail au LRDE, et ces
notes sont reportées dans un bulletin standard de tronc commun. De ce
fait s’ensuivent quelques malentendus, et du vocabulaire maladroit.
Il est d’usage de parler de dispense et note d’équivalence, mais c’est impropre. Les étudiants
du LRDE ne sont pas «dispensés» d’un projet, Tiger par exemple,
parce qu’ils y ont une formation équivalente, mais parce qu’ils ont une
formation différente. Les notes «d’équivalence» sur Tiger ne
montrent bien sûr aucune équivalence à Tiger. Les étudiants d’ING1 ne
sont pas plus «dispensés» de Tiger que les étudiants de SCIA ne
seraient dispensés du projet Kernel. De même la note donnée en
«équivalence» n’est pas plus une équivalence que la note obtenue en
réseau de neurones n’est une équivalence au projet Kernel.
Les problèmes d’échelle de notes (notes d’équivalence trop bonnes ou
trop mauvaises par rapport à la moyenne) sont aussi dus à ce fait.
Le vocabulaire est trompeur, derrière les mots «équivalence» et
«dispense» se cachent l’unique format de bulletin en ING1.
L’administration nous a fait savoir que dans un futur proche, il y
aurait possibilité de spécialiser ces bulletins.
4.2.2.2 Projets scolaires
Le LRDE ne peut pas fonctionner sans que vous soyez «dispensés»
de la plupart des projets. Il faut que vous consacriez du temps au
labo, sinon l’échange ne va que dans un seul sens. Par conséquent merci
de respecter vos dispenses en ne faisant pas ces projets.
Pour les projets à faire, faites des groupes avec d’autres membres du
LRDE. Ceci simplifie entre autres les problèmes d’emploi du temps, de
mutualisation des moyens (réseau LRDE, dépôts Git, etc.).
Un projet comme la Business Week est assez différent. Si vous souhaitez
vraiment la suivre, il est préférable de se mêler à des groupes d’autres
majeures, qui apporteront des idées différentes.
Ne faites pas seuls des projets prévus pour quatre. Ne faites pas de
vos projets scolaires de véritables projets de recherche: tenez-vous au
sujet, n’attaquez pas les questions ouvertes !
Attention aux échéances. Les dates de rendus peuvent entrer en
collision avec d’autres dates importantes du LRDE. C’est à vous de
lisser votre effort.
Il y a des projets que les étudiants CSI n’ont pas à faire, principalement
parce que:
-
vous avez fait, ou ferez, quelque chose d’équivalent pendant votre
séjour au LRDE.
- nous considérons que le retour sur investissement n’en vaut pas la
peine.
Des exemples typiques sont:
-
Tiger
- Nous savons que vous êtes capables de le faire. De plus,
les buts principaux de ce projet sont déjà largement traités au LRDE (projet long, C++, travail en équipe etc.)
- Java
- Les étudiants CSI sont typiquement des experts C++:
apprendre Java viendra lorsqu’ils en auront besoin. Nous leur faisons
confiance pour rattraper le niveau habituel des étudiants en peu de
temps.
Les exemptions sont habituellement proposées par le responsable CSI en se fondant sur l’opinion des étudiants des promotions
précédentes, et de l’expérience passée. Mais la décision doit
être faite avec la direction pédagogique de l’école. Dit autrement,
ils sont les seuls à accepter ou non nos suggestions sur les exemptions CSI.
Ces projets seront listés sur la page Csi/Curriculum dédiée à
votre classe (par exemple, Csi/Curriculum2005). Quand un
nouveau projet est annoncé, écrivez ce projet sur la page de
votre cursus, puis demandez à votre superviseur de prendre une décision.
Tout doit être écrit, y compris des choses comme "Akim a envoyé
un message à Y. Goix sur ce sujet", etc.
La mauvaise nouvelle, c’est que vous aurez un 0/20 pour ce projet,
puisque nous devons fournir une note de remplacement, mais cela nous est
impossible jusqu’à ce que 1. l’école nous prévienne qu’il manque des
notes (ce qui se fait via ces fameux 0/20), et 2. le séminaire CSI ait
lieu et que les rapports soient écrits.
4.2.2.3 Cours d’anglais
Nous avons demandé des cours d’anglais spécifiques aux étudiants CSI.
Le but de ces cours est de vous aider à écrire des meilleurs rapports,
faire de plus jolis transparents, et améliorer votre anglais. Le LRDE fournit beaucoup de substance (site Web, rapports, ‘README’s et ainsi de
suite), et en conséquence, le but de ces cours est aussi de corriger les
fautes réelles.
Steve Frank est votre professeur. Et cette fois, c’est un succès: les
étudiants font des progrès significatifs, et le contenu est fixé.
4.2.2.4 Cycle de conférences
En règle générale, il n’y a pas de conférences obligatoires, mais
certaines sont fléchées à votre intention. Merci de les suivre.
4.2.3 Vacances
Malgré la charge de travail que l’on vous donne, il vous est suggéré de
faire des pauses pendant votre cursus à chaque fois que vous le pensez
nécessaire. Prenez-les avant que vous ne vous rendiez compte que la
pression continuelle du travail, combinée avec le manque d’organisation
de l’EPITA, atteigne sévèrement votre santé mentale et réduise la
qualité de votre travail. Prendre de courtes vacances de temps en temps
aide à rester calme, à se détacher des projets et à vous vider l’esprit.
4.3 Activités extra-LRDE
Chaque année, lors du recrutement, les permanents tiennent le discours
suivant aux candidats:
Venir au LRDE c’est accepter ses règles, parmi lesquelles une
certaine forme d’exclusivité. Il n’est pas accepté de cumuler une
activité chronophage simultanément, comme par exemple être membre du
BDE, être assistant (ACU ou YAKA), être chef d’une grosse association,
travailler à mi-temps etc.Nous avons du respect pour chacune de ces activités, mais d’expérience
nous savons que le cumul ne marche pas. Si vous ne souhaitez pas
vous interdire ces activités, ne postulez pas au LRDE.
En pratique les choses sont un peu plus flexibles que cela, et nous
avons déjà eu quelques anciens ayant participé à l’assistanat des
épitéens, des départs en mission humanitaire etc.
Ces exceptions peuvent se discuter avec votre responsable de groupe, qui
n’accordera d’exemption que si votre travail a été parfaitement
satisfaisant, et que dans le cadre d’un investissement borné dans le
temps. En particulier, vous ne serez jamais assistants au même titre que
les Yakas ou Acus; il s’agit seulement d’intervenir sur tel ou tel
projet, ou pendant la piscine, ou pendant l’atelier, etc.
4.4 Notes CSI
Note | Signification |
[18–20] | Excellent |
[16–18[ | Très bon |
[14–16[ | Bien |
[12–14[ | Assez bien |
[10–12[ | Passable |
[7–10[ | Inachevé |
[2–7[ | Bâclé |
[0–2[ | Inacceptable |
Figure 4.1: Étalon de notation |
Toute forme de travail doit être notée. Ce n’est pas seulement un
vœu des enseignants, c’est aussi une demande expresse de la part des
étudiants qui ont besoin d’avoir une grille de lecture des attentes des
encadrants. La figure 4.1 donne notre échelle de notation.
Les permanents font tout leur possible pour que toutes les notes soient
données au moins par deux permanents, ce qui malheureusement n’est pas
toujours possible étant donné nos emplois du temps.
Les différentes notations qui s’appliquent aux CSI sont:
-
Encadrement
- Tutorat (mentoring) des premières années par les
anciens.
- Séminaire CSI
- Détaillé dans la section 4.4.1.
- Rapport
- Détaillé dans la section 4.4.2.
- Recherche
- Originalité de votre travail, résultat de votre
recherche, autonomie, persévérance, etc.
- Développement
- Appliquer le résultat de vos recherches est attendu de
tout étudiant CSI. Dans LRDE il y a développement. On évaluera donc
votre aptitude à parachever votre travail, ce qui comprend les tests, la
documentation, la maintenabilité de votre code (lorsque cela s’applique).
- Vie sociale
- Votre participation à la vie du labo.
La figure 4.2 donne des échelles de notes pour chacune des
catégories ci-dessus.
Note | Signification |
| Générale | Encadrement | Séminaire CSI | Rapport | Recherche | Développement | Vie sociale |
[18–20] | Excellent | Pilier de la formation des nouveaux | Présentation exemplaire, digne d’être filmée et diffusée | Travail publiable / diffusable en l’état | Avancée importante dans la recherche au LRDE ; publication possible | Contributions essentielles au(x) projet(s) | G.O. du LRDE
|
[16–18[ | Très bon | Encadrant(e) de référence pour un projet ou un sujet donné | Oral de qualité, apprécié de l’auditoire | Travail publiable / diffusable après modifications mineures | Avancée significative dans la recherche au LRDE ; publication possible | Contributions régulières et significatives au projet | Présent(e), animateur(trice)
|
[14–16[ | Bien | Fait preuve de disponibilité et d’initiative pour assurer la
transmission du savoir | Bonne présentation, retenant l’attention | Bon travail, non publiable / diffusable en l’état,
mais constituant une bonne base dans ce but | A contribué à la recherche, s’implique activement et obtient des
résultats corrects | Du travail, valable par sa qualité ou sa quantité | Présent(e) régulièrement, fait preuve d’initiative
|
[12–14[ | Assez bien | Répond régulièrement aux questions des jeunes | Prestation orale honnête | Résultat moyen, ne pouvant pas prétendre à une
diffusion à l’extérieur à moins de remaniements
profonds | Participe aux travaux de recherche mais ne fait pas preuve de
beaucoup d’initiative | Du travail correct, lorsqu’il/elle est sollicité(e) | Présent(e) régulièrement, aide ponctuellement lorsqu’il/elle est
sollicité(e)
|
[10–12[ | Passable | Distille de l’information de temps en temps | Présentation se contentant du minimum | Travail minimal, ne faisant pas montre d’efforts | Participe au minimum, sans plus | Participe au minimum, sans plus | Présent(e) régulièrement ; discret(e), mais sympathique
|
Point de «rentabilité»: en deçà, l’étudiant(e)
nous fait perdre du temps. |
[7–10[ | Inachevé | Ne se préoccupe que rarement de ses cadets | Présentation en deçà du minimum, pêchant par le contenu ou par sa
forme | Travail en deçà du minimum attendu | Participe très peu aux travaux de recherche ou use d’une
mauvaise méthodologie | A fait avancer le projet mais a manqué de rigueur ou de volume
de travail | Peu présent(e) ; ne participe que très ponctuellement à la vie du
labo
|
[2–7[ | Bâclé | Ne répond pas aux questions | Mauvaise prestation orale | Très incomplet ou comporte trop de fautes de forme | Participe trop peu aux travaux de recherche ou fournit un travail
inexploitable | Participe trop peu au développement ou fournit un travail
inexploitable | Peu ou pas présent(e), ne participe pas à la vie du labo ou pêche
par sa mauvaise humeur
|
[0–2[ | Inacceptable | Sape la formation dispensée par ses pairs | Je-m’en-foutisme affiché ou grossièreté | Rapport vide ou absent | Aucun travail de recherche | Participation au projet inexistante / sape le travail des autres | Instaure une mauvaise ambiance au labo
|
Figure 4.2: Étalon de notation par catégories |
4.4.1 Les Séminaires CSI
Il y a trois séminaires dans une scolarité CSI. Leur objet est de nous
permettre de juger votre aptitude à faire une présentation
scientifique. Ce séminaire doit être vu comme une mini-conf. Le sujet
est préférentiellement celui sur lequel vous avez travaillé, mais dans
certaines situations discutées avec le chef de groupe, le sujet peut
être très différent. Un rapport et des transparents peuvent avoir
plusieurs auteurs, mais l’exposé se fait par une seule personne, pas
d’exposé en duplex.
La section 3.7 contient beaucoup d’information sur la
préparation d’un séminaire.
4.4.2 Les rapports
4.4.2.1 Comment créer un nouveau rapport
-
Dans un premier temps demander l’accès au groupe LRDE sur gitlab puis vous pourrez récupérer le dépôt
‘lrde/techreps’:
$ git clone --recursive git@gitlab.lrde.epita.fr:lrde/techreps
Assurez-vous d’avoir bien renseigné vos noms et adresse e-mail dans la
configuration Git (à ce sujet, voir par exemple la page
http://git-scm.com/book/en/Getting-Started-First-Time-Git-Setup).
- Lancez ensuite le script ‘new-techrep’ en spécifiant le nom de
votre rapport (en anglais):
$ cd techrep
$ ./new-techrep "A Survey of Programming Languages Used by Cats"
Un numéro vous est attribué dans le fichier ‘numbers.txt’ sous la
forme ‘YYNN’, où ‘YY’ correspond aux deux derniers chiffres de
l’année et ‘NN’ au numéro du rapport dans l’année (par exemple
«01» si vous êtes le premier étudiant à appeler le script). Un
répertoire portant ce numéro comme nom est créé à la racine du dépôt et
rempli avec les fichiers du modèle, que vous pourrez utiliser pour écrire
votre rapport. L’ensemble est enregistré dans un commit Git, qu’il vous
faut envoyer vers le serveur du LRDE:
$ git push origin master
- Il vous faut ensuite mettre à jour le fichier de bibliographie
BibTeX des rapports CSI
(‘bib/csi.bib’ dans le dépôt
‘lrde-publis-share’) avec les informations données par le script.$ cd /tmp
$ git clone lrde-publis-share
$ cd lrde-publis-share
$ $EDITOR bib/csi.bib
Copiez-collez le modèle donné dans la sortie du script dans
‘bib/csi.bib’ (en respectant le tri alphabétique sur les clefs) et
complétez cette entrée. N’oubliez pas de fournir un titre et un résumé en
français et en anglais. Faites aussi attention aux champs
‘urllrde’ et ‘url’: le premier est une clef de la forme
‘YYYYMM-Seminar-Lastname’ qui est utilisée dans le second pour former
une URL vers une page qui référencera votre rapport dans le site Web des
publications du LRDE (cf. infra).
Enregistrez ‘bib/csi.bib’ dans le dépôt et poussez votre commit sur
le serveur:
$ git commit -m "Add KEY to bib/csi.bib." bib/csi.bib
$ git pull --rebase
$ git push origin master
où ‘KEY’ est la clef de l’entrée BibTeX (sous la forme
‘lastname.yy.seminar’) que vous venez d’ajouter à ‘bib/csi.bib’.
- Enfin, créez une page pour votre rapport sur le «Web» Publications
du site du LRDE. If suffit pour cela d’aller à l’URL contenue dans le
champ ‘url’ de votre entrée BibTeXde ‘bib/csi.bib’ avec un
navigateur Web, puis de cliquer sur «Create». Remplissez le formulaire
et copiez-collez vos résumés en anglais et en français. Enregistrez vos
changements.
- Une fois la dernière passe de relecture et de correction de votre
rapport effectuée, il vous faudra installer votre séminaire sur le site du
labo. Le plus simple est d’exécuter make install depuis le
répertoire des sources de votre rapport:
$ cd techreps
$ cd YYNN
$ make install
La règle ‘install’ copie votre rapport dans un répertoire avec une
URL du type
‘http://www.lrde.epita.fr/dload/YYYYMM-Seminar’. Vous
pouvez changer cette destination en modifiant le ‘Makefile’ qui
figure dans le répertoire des sources de votre rapport. Modifiez ensuite
la page de votre rapport sur le Web Publications du labo (cliquez sur
«Edit») afin d’y ajouter l’URL précédente, ainsi que tout autre
ressource que vous auriez pu mettre en ligne (par exemple, la présentation
que vous avez utilisée pour votre exposé au séminaire LRDE).
4.4.2.2 Rédaction des rapports
Trois rapports sont attendus durant la scolarité CSI. Le troisième est
typiquement une complétion et correction du second.
Ce rapport doit être un transfert de compétence vers le lecteur, qui
sera typiquement un étudiant plus jeune, un permanent, ou n’importe
quelle autre personne susceptible de s’intéresser à votre travail, voire
de le poursuivre. Faites donc une présentation en profondeur de tout
votre travail. Par ailleurs, ce sera l’occasion de montrer votre
aptitude à structurer un raisonnement.
Un rapport qui n’est compréhensible que par l’équipe participant au
projet est inacceptable. Veillez à bien introduire toutes les notions
que vous utilisez de façon à être auto-contenu. Par exemple si votre
sujet porte sur une optimisation de la composition des transducteurs
temps-réels de , votre rapport devra nécessairement définir ce
qu’est un transducteur temps-réel (ce qui vous conduira à définir ce
qu’est un monoïde, un semi-anneau, un produit de monoïdes libres...)
ainsi qu’introduire . Pour tous ces préliminaires il vous est
vivement conseillé de réutiliser et d’améliorer ce qui a déjà été fait
dans des rapports ou articles précédents: citez vos sources et ne
réinventez surtout pas la roue. Veillez d’autre part à employer des
notations uniformes et à être cohérent dans vos définitions lorsque vos
sources sont multiples.
On peut faire un rapport à plusieurs personnes, mais bien sûr dans un
tel cas on attend que le travail soit d’autant plus fourni. La même
note sera donnée à tous les auteurs.
Vous ne manquerez pas de lire les conseils de rédaction qui vous sont
donnés (section 3.9).
Le rapport doit exploiter le style mis au point par
User:didier, voyez SeminarPapersHowTo.
Il doit être écrit en anglais, et avoir été vérifié par un prof avant
d’être mis en ligne. Pour la mise en ligne sur
Publications, voyez PublicationsDoc
et SubmittingSeminarDocsToTheWiki.
4.4.2.3 Correction des rapports
À partir de 2007, les correcteurs évaluent les rapports sur le fond et
vérifient que la forme respecte les critères attendus (cf. infra).
Parmi les éléments qui composent le fond, on entend notamment les points
suivants.
-
La mise en contexte
- Re-situez votre apport vis-à-vis du travail
accompli par vos prédécesseurs au LRDE ainsi que la communauté
scientifique. Par ailleurs, votre rapport doit pouvoir être lu par une
personne n’ayant pas encadré votre travail, par exemple un élève de
première année intégrant le labo l’année suivante.
- Le caractère pérenne du rapport
- Ayez en tête le fait que votre
rapport s’inscrit dans un travail collectif, et dans le temps.
Veillez à son caractère «réutilisable».
- La pertinence vis-à-vis du LRDE
- Le travail réalisé au LRDE doit
chercher à s’inscrire dans les thèmes de travail du laboratoire, et
dans la continuité des travaux existants. Sauf accord explicite de
votre encadrant, votre rapport doit se rattacher aux projets du LRDE.
- Complétude
- Est-ce que tout a été dit ? La différence entre le
travail qui est vôtre et ce qui est de l’ordre de l’état de l’art
est-elle assez marquée ?
Cet aspect de «fond» est noté sur 20 points, en suivant la
figure 4.1. Cette première note est modifiée par une note de
forme. Des points négatifs sont appliqués, qui sanctionnent les
manquements aux exigences de forme. Il existe aussi des gratifications
liées à la forme, quand celle-ci a été particulièrement soignée.
Points de forme négatifs
Les éléments suivants doivent figurer dans votre rapport. Absents ou
mal traités, ils donneront lieu à des pénalités sur la note du rapport.
-
Introduction
- Elle ne doit pas se réduire à une simple
présentation du plan de votre rapport.
- État de l’art
- Citez les travaux similaires accomplis par vos
prédécesseurs et les membres de la communauté scientifique, et
situez-vous par rapport à eux.
Si votre état de l’art se limite à une paire de paragraphes, n’en
faites pas un chapitre à lui tout seul: fusionnez-le avec
l’introduction, par exemple.
- Conclusion
- Là encore, évitez les conclusions trop courtes !
Ne vous contentez pas de recopier votre résumé dans la conclusion.
- Bibliographie
- C’est un point important dans toute publication
scientifique. Une entrée dans une bibliographie doit être précise et
donner assez d’informations à quelqu’un qui voudrait retrouver
l’article dans une bibliothèque sans moteur de recherche. Soignez vos
entrées et relisez-les au même titre que le reste du rapport.
Utilisez autant que possible ‘share/bib’, tant pour y puiser des
références que pour y ajouter de nouvelles entrées.
- Bon usage des citations
- Les modèles standard de rapports de
séminaire CSI offrent plusieurs variantes de la commande
\cite
permettant d’insérer proprement une références dans le discours.
Documentez-vous notamment sur les commandes \citet
et
\citep
. - Index
- Un rapport est d’autant plus réutilisable que l’on accède
facilement à l’information. La constitution d’un index étant
particulièrement fastidieuse à réaliser a posteriori, il est
recommandé de le constituer au fil de l’écriture du rapport.
- Usage parcimonieux des notes de bas de page
- Les notes cassent le
rythme de la lecture. Dans la mesure du possible, reformulez votre
prose pour en réduire le nombre. Les notes de bas de page doivent être
des phrases complètes.
- Figures (illustrations et tableaux)
- Veillez à leur pertinence,
leur lisibilité (éviter le format timbre postal !), leur titre, leur
numérotation et leur(s) références.
- Références
- Les références (citations et renvois aux éléments
flottants) doivent être des liens hypertexte.
- Robustesse à l’impression en noir et blanc
- Votre rapport doit
être composé en couleurs, mais doit supporter une impression
bichromatique tout en restant lisible.
- Listings «digestes» et pertinents
- Dix pages de code
non commentées en annexe n’apportent rien ! Utilisez le paquet
mylistings de ‘share’ pour la mise en page d’extraits de
code. Lorsque c’est possible, reformulez votre algorithme sous une
forme générale plutôt que dans un langage donné (il existe plusieurs
styles LATEX pour mettre en page un algorithme, comme
newalg).
- Correction de la langue
- Pas de fautes. Un rapport ne doit jamais
être soumis à un permanent sans avoir été relu par un de vos pairs.
Soyez sûrs d’être très pénalisés s’il est manifeste que le correcteur
orthographique n’a pas été utilisé.
- Typographie
- Faites attention aux polices utilisées, à la
ponctuation, aux césures, etc.
- Mise en page
- Faites attention aux marges, aux interlignes, à la
table des matières, etc.
- Qualité de rédaction
- Pas d’oral à l’écrit. Articulez votre
discours, usez et abusez des prépositions (section 3.9.2.7).
- Et enfin, le respect de tout autre point du Guide
-
Points de forme positifs
Les éléments suivants peuvent donner lieu à des bonus sur la note de
forme.
-
Bibliographie commentée
- Bien entendu, le fait d’annoter une
bibliographie ne dispense pas de ce qui a été mentionné plus haut !
- Figure soignées
- Les belles figures qui ont exigé un soin
particulier et/ou qui illustrent particulièrement bien un propos
seront sujet à bonification.
- Glossaire
- Un glossaire n’est pas indispensable, mais sa présence
pourra être considérée comme un bonus.
4.4.2.4 Étapes de rendu d’un rapport
Chacune des étapes suivantes est obligatoire, et il est du devoir des
étudiants CSI de s’assurer qu’ils sont en conformité avec les points
suivants. Des pénalités sont appliquées tant que votre rendu n’est pas
conforme (1 point sur la note finale par jour de retard).
-
Choix du sujet
- avec votre encadrant.
- Correction par un pair
- les permanents ne sont pas là pour
corriger les erreurs grossières, tous les rapports doivent
avoir été relus par un pair avant d’être rendus. Remercier
explicitement dans la section idoine (e.g., un
‘\paragraph{Acknowledgements}’ à la fin de votre
introduction) le (les) étudiant(s) ayant relu votre rapport.
- Enregistrement
- Compléter/corriger le fichier ‘bib/csi.bib’
(dans git@gitlab.lrde.epita.fr:lrde/share) avec votre rapport
ainsi que le
champ urllrde qui pointe sur la page wiki. Par exemple:
@TechReport{sigoure.06.seminar,
author = {Beno\^it Sigoure},
title = {{eXtended Reactive Modules}},
titre = { ... Titre en fran\,cais ... },
institution = {EPITA Research and Development Laboratory (LRDE)},
year = 2006,
abstract = {
... English abstract ...
},
resume = {
... R\'esum\'e en fran\,cais ...
},
url = {http://publis.lrde.epita.fr/200607-Seminar-Sigoure},
urllrde = {200607-Seminar-Sigoure},
}
- Rendu
- à Daniela (i) d’une impression de votre rapport, (ii) d’une
impression de la page wiki "student report" pour montrer que cela a été fait.
Sur la page de garde de votre rapport, reporter (i) la clé de citation BibTeX
utilisée dans ‘csi.bib’.
Par la suite,
-
Correction par les permanents
- Le premier correcteur donne à
l’étudiant des
modifications à effectuer avant de passer le rapport corrigé au
relecteur suivant. Si le calendrier ne se prête pas à la souplesse, le deuxième
relecteur peut travailler sur la première version du rapport.
- Publication
- Créer une page pour rapport d’étudiant sur le Wiki.
Pour cela, allez sur l’URL:
‘http://www.lrde.epita.fr/Publications/AAAAMM-Seminar-Nom’
où:
-
AAAA est l’année du séminaire
- MM est le numéro du mois du séminaire
- Nom est votre nom avec une majuscule
Un exemple d’URL:
http://www.lrde.epita.fr/Publications/200607-Seminar-Sigoure
Une fois dessus, cliquez sur le lien "create" en bas à gauche de la
page. Vous devez maintenant remplir les différentes sections, recopiez les
lignes ci-dessous et complétez avec votre abstract et résumé
%PUBLIHEADER%
_English:_
Put your abstract here.
_French:_
Votre r\'esum\'e i\ci.
- Impression définitive
- Faire une copie recto verso format A4 pour
les classeurs de rapports des projets. L’y insérer.
- Upload sur l’intranet
- Une fois le séminaire passé, ajoutez vos
documents en version finale corrigée dans le wiki. Pour cela il vous faut
les mettre dans le dossier dload, sur une machine du lrde:
$ cd /lrde/dload
Si le dossier de votre séminaire n’existe pas encore, créez le:
$ pwd
/lrde/dload
$ mkdir AAAAMMJJ-Seminar
$ chmod 775 AAAAMMJJ-Seminar
Avec:
-
AAAA: l’année du séminaire
- MM: le numéro du mois du séminaire
- JJ: le numéro du jour du séminaire
Important: N’oubliez pas de mettre les bons droits sur le dossier
sinon les autres CSI ne pourront pas rajouter leurs fichiers!
Une fois vos fichiers ajoutés, éditez la page wiki de votre rapport et
rajoutez les lignes suivantes à la fin:
* [[%LRDEDOWNLOAD%AAAAMMJJ-Seminar/MYREPORT_FILENAME.pdf][report.pdf]]
* [[%LRDEDOWNLOAD%AAAAMMJJ-Seminar/MYSLIDE_FILENAME.pdf][slides.pdf]]
Vérifiez que tout marche bien.
4.4.3 Développement
N’hésitez pas à vous impliquer entièrement dans votre projet préféré.
Cependant, n’essayez pas d’entamer des projets dont la charge de travail
dépasse votre capacité. Préférez un développement par petits pas
incrémentaux, en documentant votre feuille de route de sorte à ce que
les gens puissent suivre, et rejoindre le projet facilement lorsque vous
avez besoin d’aide. Évitez de travailler «dans votre coin», d’annoncer
vos résultats à la fin (particulièrement s’ils sont négatifs) et de
conclure que vous avez manqué de temps pour finir.
4.5 Après
4.5.1 Lettres de recommandation
Pour postuler pour un Master (autrefois un dea), vous aurez
sans doute besoin d’une lettre de recommandation. Les pages suivantes
sont de bons guides pour les auteurs de ces lettres:
En ce qui concerne les étudiants, quelques recommandations:
-
Faire corriger votre bulletin
- Si vous avez des notes extrêmes
(trop basses, ou bien trop élevées: avoir plus de 20 est suspect pour
l’extérieur), demandez leur correction à
Hélène Vaury (vaury_h@epita.fr)
- Ne demander qu’une seule lettre de recommandation au LRDE
-
Plusieurs lettres provenant du même endroit ne sont pas la meilleure
approche. Demandez-en une ici, et d’autres d’ailleurs,
préférentiellement hors EPITA.
- Choisissez votre recommandataire
- Ne demandez pas des lettres de
quelqu’un qui ne vous connaît pas bien (avez-vous travaillé ensemble
?), ou qui ne vous a pas vu sous votre meilleur jour (avez-vous
échoué ses examens ? Pour commencer, les avez-vous réussis ?)
- Donner un dossier complet à votre recommandataire
- La personne qui
vous soutiendra ne devrait pas perdre de temps à chercher
l’information que vous devriez lui avoir fourni. En particulier,
fournissez:
-
Le nom du Master
- La majeure que vous choisissez
- Le lieu du Master (nom de l’université etc.)
- L’URL du Master
- Toute information susceptible de nous aider (est-ce que des
enseignants EPITA participent à ce Master ? etc.)
- Votre CV
- Vos atouts à faire valoir
Merci de consulter et de tenir cette page à jour: Csi/Dea.
- Fournir un squelette de lettre de recommandation
- Un bon moyen
d’aider (et donc d’avoir une bonne recommandation…) consiste en
l’écriture d’une esquisse par vous-même. Suivez ces trois étapes:
-
Comment vous connaît-on ? Depuis combien de temps ?
- Un résumé de ce que vous avez fait avant et pendant notre
période commune.
- Pourquoi on devrait être contents de vous et avoir envie de
faire une bonne lettre de recommandation.
- Ne lisez pas les lettres des autres
- Certains d’entre nous donnent
parfois des lettres ouvertes. Ne vous amusez pas à les faire
circuler, à les comparer etc.
- Classement à l’EPITA
- Beaucoup de formulaires demandent
comment vous vous classez dans votre promotion, explicitement ou
implicitement («dans les premiers 1%, 5% etc.»). C’est une
information difficile d’accès à l’EPITA: la direction pédagogique
n’y semble pas favorable, mais si c’est nécessaire, en luttant, ce
doit être possible.
Les problèmes pouvant se poser : les majeures ne notent pas de la même
façon, toutes les notes ne sont pas encore rendues, certaines notes EPITA
sont bien connues pour ne pas vraiment avoir de sens pour les gens de
l’extérieur (e.g., Bistro ou piscine), les demandeurs ne veulent pas
toujours la même chose, etc. Il faut que vous, étudiants, preniez
l’initiative en préparant le document que vous souhaitez obtenir. Après
vérification de sincérité, Hélène Vaury ou Christian Dujardin le validera
ou éventuellement le corrigera, le tirera sur papier à entête EPITA, le
signera, et vous le remettra. Il faut que ce document soit compatible
avec les outils que vous devinez (feuille de calcul ou traitement de
texte).
Chapitre 5 Maintenance des Projets
5.1 Maintenance des avis du droit de copie
Vous pensez peut-être que nous ne nous soucions pas vraiment de ces
avis, mais en fait, nous nous en soucierons quand nous aurons de gros
problèmes. Ainsi, comprenez bien que nous ne pouvons pas jouer avec le
feu sur ce point, même si cela semble autant bénin, ou même simplement
douloureux.
Voici les règles à suivre absolument:
-
Utilisez ‘Copyright (C) Year1, Year2, Year3 LRDE’ dans chaque
fichier long d’au moins 15 lignes environ. Incluez la licence
ci-dessous. Cela comprend ‘ChangeLog’, ‘README’ et ainsi de
suite.
- À chaque fois que vous modifiez un fichier, mettez à jour les
dates du droit de copie.
- Pour le faire automatiquement avec Emacs:
-
Ajoutez ‘(add-hook ’write-file-hooks ’copyright-update)’
dans votre fichier d’initialisation d’Emacs,
- Lancez M-x customize-group Copyright dans Emacs, et réglez
le valeur de ‘Copyright Query’ à ‘don’t ask’.
-
N’utilisez pas d’intervalles tels que ‘Copyright (C) 2001-2003’.
- N’oubliez pas le ‘(C)’, même si la FSF ne l’impose pas
ci-dessous.
- N’ajoutez pas des années pour rien, uniquement celles où le fichier
a été modifié.
Les raisons et des détails supplémentaires sont disponibles dans un document
similaire écrit par la FSF pour ses mainteneurs. La section en question est
Copyright Notices.
Il ne s’applique à nous que partiellement, mais il est inclus en l’état
ci-dessous. On vous fait confiance pour voir où des ajustements sont
nécessaires.
5.2 Le fichier ‘ChangeLog’
Ce chapitre résume les choses les plus importantes sur les entrées de
ChangeLog. La source principale d’informations reste la page
GNU Coding Standards: Change
Logs.
5.2.1 Quoi et comment
Dans le concept originel des ChangeLogs, on décrit tout
changement que l’on a fait. Cela rend la chasse aux bogues plus facile,
et cela aidera d’autres gens à suivre le développement.
Voici quelques exemples d’entrées de ‘ChangeLog’:
2004-05-31 Alexandre Duret-Lutz <adl@gnu.org>
* lib/depcomp (tru64) [libtool]: Use $dir$base.o.d instead
of $dir.libs/$base.o.d. Libtool 1.5 causes both to be output,
and we will clean the second automatically during distclean.
Using the latter and leaving the former as we did before cause
"files left in build directory" failures during distcheck.
Suggested by Nicolas Joly.
* doc/automake.texi (Built sources example): Explain what
nodist_foo_SOURCES is (not) useful to, and use it in all the
examples.
(Tags): Mention nodist_noinst_HEADERS and nodist_prog_SOURCES.
Suggested by Akim Demaille.
2004-04-22 Gary V. Vaughan <gary@gnu.org>
According to Howard Chu <hyc@highlandsun.com>:
Applications should assume that the native dlopen is NOT
thread-safe, and take care of locking themselves. All application
calls into libltdl should thus be protected by the caller.
* libltdl/lt_mutex.c, libltdl/lt_mutex.h: Removed.
* libltdl/Makefile.am (pkginclude_HEADERS): Removed lt_mutex.h.
(libltdl_la_SOURCES): Removed lt_mutex.c and lt_mutex.h.
* libltdl/ltdl.h: Don't include lt_mutex.h.
* libltdl/lt__private.h (LT__MUTEX_GETERROR, LT__MUTEX_SETERROR)
(LT__MUTEX_SETERRORSTR): Renamed to...
(LT__GETERROR, LT__SETERROR, LT__SETERRORSTR): ...this. Changed
all callers.
(LT__MUTEX_LOCK, LT__MUTEX_UNLOCK, lt_dlmutex_lock)
(lt_dlmutex_unlock, lt_dlmutex_seterror, lt_dlmutex_geterror):
Removed. Changed all callers.
* doc/libtool.texi (Thread Saftey in libltdl):
* NEWS: Updated.
2004-06-04 Akim Demaille <akim@epita.fr>
The interface of Cpu is actually that of MipsCpu (e.g., it refers
to the return address reg which makes no sense for Ia32).
Have MipsCpu and Ia32Cpu have local casted pointers to their own
cpu, and relax the interface of Cpu.
* src/target/cpu.hh (sp_reg, return_reg): Remove, not needed by tc
per se.
* src/target/fwd.hh (MipsCpu, Ia32Cpu): Fwd decl.
* src/codegen/codegen.hh, src/codegen/codegen.cc (cpu_set):
Virtual.
* src/codegen/mips/codegen.hh, src/codegen/mips/codegen.cc,
* src/codegen/ia32/codegen.hh, src/codegen/ia32/codegen.cc
(mcpu_, cpu_set, super_type): New.
Define it in the ctor.
Use it instead of cpu_ to enjoy the features of the very Cpu
currently targeted.
5.2.2 ChangeLog: Le bien
-
Lisez ce que les autres ont fait, et imitez les.
- Une entrée de ChangeLog par checkin. Puisqu’il n’y a qu’un
checkin par but, cela fait une seule entrée pour chaque but.
- Commencez votre entrée de ChangeLog par la raison de votre
correctif; le noyau du ChangeLog est dédié à lister quels
changements vous avez effectués, et comment.
S’il y a un bug, décrivez le; si cela ajoute une fonctionnalité,
décrivez la; s’il y a des références, fournissez les; etc. Quelques
exemples avec une telle introduction:
2004-05-29 Paul Eggert <eggert@cs.ucla.edu>
Fix some "make check" problems with C++ reported by
Albert Chin-A-Young for Tru64 C++ in this thread:
http://lists.gnu.org/archive/html/bug-bison/2004-05/msg00049.html
* m4/cxx.m4 (BISON_TEST_FOR_WORKING_CXX_COMPILER): Check for std::cerr.
* tests/actions.at (_AT_CHECK_PRINTER_AND_DESTRUCTOR):
Output to a .cc file for C++, not to a .c file.
* tests/calc.at (AT_CHECK_CALC): Likewise.
* tests/regression.at (AT_CHECK_DANCER): Likewise.
* tests/local.at (AT_COMPILE_CXX): Default to OUTPUT.cc, not OUTPUT.c.
2004-05-27 Paul Eggert <eggert@cs.ucla.edu>
Spent a few hours checking out which prerequisite versions the
current sources actually require. I went all the way back to
Gettext 0.10.40, Automake 1.4, and Autoconf 2.57 and investigated
a seemingly endless set of combinations of versions more recent
than that. The bottom line is that the current sources require
fairly recent versions of the build tools, and it'll be some work
to change this.
* configure.ac (AC_PREREQ): Increase from 2.58 to 2.59.
(AM_INIT_AUTOMAKE): Increase from 1.7 to 1.8.
(AM_GNU_GETTEXT_VERSION): Increase from 0.11.5 to 0.12.
Add comments explaining why those particular versions are
currently needed.
- Après les deux points (‘:’), écrivez une phrase
impérative. L’entrée de ‘ChangeLog’ décrit ce que votre
correctif fait (et non ce que vous avez fait). Une
autre métaphore est de penser que vous donnez des ordres à quelqu’un
qui va implémenter les changements que vous décrivez.
- Une phrase commence avec une majuscule et finit avec un point.
- Coupez les longues listes de fichiers comme suit:
* parse/task-parse.hh, ast/task-ast.hh, escapes/task-escapes.hh,
* parse/task-parse.cc, ast/task-ast.cc, escapes/task-escapes.cc:
Rename as...
* parse/parse-tasks.hh, ast/ast-tasks.hh, escapes/escapes-tasks.hh,
* parse/parse-tasks.cc, ast/ast-tasks.cc, escapes/escapes-tasks.cc:
These.
- Les entrées de ChangeLog ne sont fondamentalement à écrire qu’une
fois, particulièrement celles loin dans le passé. Néanmoins,
corrigez les erreurs dans les entrées récentes. Si des
détails sont demandés sur un correctif, c’est probablement un signe
que l’entrée du ChangeLog est incomplète: complétez la ! Ne
remplissez pas une entrée de ChangeLog pour un correctif d’une entrée
de ChangeLog.
- Lorsque vous fusionnez une branche, ajoutez une
tabulation aux en-têtes du ChangeLog ajouté, et collez tous ça dans le
nouveau ChangeLog. Voici un exemple:
2003-10-01 Raphael Poss <raph@lrde.epita.fr>
Merge the following changes.
2003-10-01 Raphael Poss <raph@lrde.epita.fr>
* src/translate/translation.cc: Fix bug where reference to
temporaries were stored in the heap.
2003-09-30 Raphael Poss <raph@lrde.epita.fr>
* Synchronize with main project.
[...]
* src/misc/Makefile.am: Mention the new files.
5.2.3 ChangeLog: Le mal
-
N’utilisez pas plus de 80 colonnes (sauf si, bien sûr, un
nom est trop long).
- N’abrégez pas les noms de fichier, les noms de fonction, les noms
de variable, ou quoi que ce soit susceptible d’être «grepé» plus tard
dans le ‘ChangeLog’.
- N’oubliez pas de rapporter tous les changements. Cela prend du
temps, je vous l’accorde, mais c’est un investissement pour les futurs
mainteneurs.
- Expliquer dans le ‘ChangeLog’ pourquoi le changement est
nécessaire peut être utile, cependant l’explication est habituellement
mieux placée en commentaire dans le code.
- Le ‘ChangeLog’ concerne le paquet, pas le dépôt. Ainsi,
n’écrivez pas de choses telles que «Remove from the repository», ou
«Add missing file» puisque ça n’a aucun sens du «point de vue de
la tarball». Mais bien sûr, «New file» est une autre affaire.
- Ne dites pas «Add» pour des nouveaux fichiers, dites «New».
«Add»
se réfère typiquement au dépôt, mais le dépôt n’est pas le but du
‘ChangeLog’, qui vise le paquet seulement. Bien sûr, vous pouvez
utilisez «Add» dans le journal du système de contrôle de versions.
5.2.4 Emacs et ChangeLog
5.3 Enregistrement d’une révision
Enregistrer une modification n’est jamais une opération bénigne puisque
cela concerne tous les utilisateurs de l’application, maintenant et même
dans le futur.
5.3.1 Pourquoi utiliser un système de contrôle de versions
Les motivations pour utiliser un système de contrôle de versions sont:
-
Synchroniser les Utilisateurs
- Quelqu’un qui récupère le projet
doit être en mesure de travailler, le projet doit donc se comporter
correctement.
- Revenir en Arrière pour Isoler les Bogues
- Parfois, un nouveau
bogue se montre, et l’on remonte dans l’historique jusqu’à ce qu’on
trouve la modification qui a introduit le bogue. Mais bien sûr ce
n’est pas possible s’il y a des versions qui ne compilent pas ou qui
ont d’autres bogues.
5.3.2 Définir un enregistrement de révision
Gardez cela en tête:
une révision, un sujet
En particulier:
-
lorsque vous enlevez un fichier du dépôt (par exemple,
‘install-sh’ etc.), enregistrez une révision dédiée, de sorte à
ce que
-
le «diff» soit facile à lire
- les gens qui reviennent en arrière sur cette révision précise ne
voient pas ‘install-sh’ apparaître soudainement.
5.3.3 La procédure d’enregistrement
-
1. Vérifiez vos changements
- À moins que vous soyez sûrs que vos
modifications ne puissent pas être dangereuses, qu’elles ne changent
rien de significatif, vous devez lancer la suite de tests.
- 2. Mettez à jour votre copie locale
- Pour avoir les derniers
changements:
$ svn update
- 3. Ajoutez les nouveaux fichiers et supprimez les obsolètes
-
Afficher la liste des fichiers que svn veut ajouter/supprimer:
$ svn status
Des fichiers générés ou inutiles peuvent être listés. Ajoutez les à la
liste des fichiers ignorés du répertoire:
$ svn propedit svn:ignore .
Dans ce fichier, vous pouvez mettre des fichiers à ignorer via des
«globbing patterns». Un «globbing» par ligne:
*.o
*~
Quand ‘status’ affiche une liste propre des nouveaux fichiers,
lancez:
$ svn add files_or_directories_to_add
$ svn remove files_or_directories_to_remove
pour réellement ajouter/supprimez les nouveaux/anciens fichiers.
- 4. Écrivez un ChangeLog
- Affichez le contenu de vos modifications
:
‘$ svn diff’ pour voir tous les changements.
Mettez à jour les fichiers ChangeLogs en conséquence avec tous les
fichiers modifiés. Utilisez ‘C-x 4 a’ sous Emacs pour écrire
votre ChangeLog en même temps que les modifications, et lisez les
ChangeLogs pour avoir plus d’informations sur comment les mettre à
jour.
Pour avoir la liste des fichiers modifiés, lancez ‘$ svn
status’. Relancez ‘$ svn diff’ pour afficher vos changements, y
compris la nouvelle entrée du ChangeLog.
- 5. Enregistrez vos changements
- Souvenez-vous: une
révision, un sujet (Lisez la documentation de svn pour apprendre
comment enregistrer uniquement des parties de vos modifications).
Puis lancez ‘$ svn commit’, et collez l’entrée du ChangeLog (ou
les entrées s’il y a plusieurs ChangeLogs). Supprimez la première
ligne du ChangeLog (Nom et Date, car svn connaît déjà ces
informations).
- 6. Postez vos Changements
- Choisissez un sujet intelligent. Il
commence par le nom du projet, puis le numéro de révision. Si vous
postez dans un group dédié à un projet, disons Olena, il n’est pas
nécessaire de spécifier le nom une fois de plus, le numéro de révision
est suffisant. Ensuite, incluez un court titre définissant
l’enregistrement de révision. Puisque vous venez de faire
l’enregistrement, vous connaissez aussi le numéro de révision.
De mauvais exemples de ‘Subject:’ sont:
-
‘vampire 123: Some changes’
- ‘vampire 123: Update’
De bons exemples de ‘Subject:’ sont:
-
‘vampire 123: parser fixed’ in ‘projects at
lrde.epita.fr’.
- ‘590: Use TimeVar’ in ‘tiger-patches at
lrde.epita.fr’.
- ‘7.22: Upgrade to Autoconf 2.57’ in ‘olena-patches at
lrde.epita.fr’
- ‘meta-c++-grammar 99: upgrade to StrategoXT 0.9’ in
‘transformers-patches at lrde.epita.fr’.
Incluez l’URL (‘svn info | grep ’URL:’’), diffstat (‘svn
diff | diffstat’), et diffs (‘svn diff --diff-cmd diff
--extensions ’NPbuw’ ’) dans le corps, et envoyez le au newsgroup
ou à la liste de diffusion approprié.
- 7. Répondez aux commentaires
- Si des changements sont demandés,
implémentez les, et postez les en réponse au commentaire. Si le
ChangeLog doit être corrigé, faites-en un seul enregistrement de
révision (pas d’autre modification).
5.4 Inspection de Correctifs
Une fois que le message de nouvelle révision a été posté
(section 5.3), il doit être inspecté: chaque correctif
devrait être inspecté.
Le but de l’inspection est bien sûr de chercher des erreurs, des fautes
de frappes, une documentation ou un ChangeLog flous, un style de code
incorrect, ou même une suggestion de meilleure implémentation, et ainsi
de suite.
S’il n’y a rien à signaler sur le correctif, répondez juste «Ok»,
en citant uniquement le ChangeLog. Généralement, le fil s’arrête là.
S’il y a des problèmes à signaler, ne citez que les portions pertinentes
du correctif. Si vous avez plusieurs gros problèmes à rapporter, vous
pouvez peut-être faire plusieurs réponses séparées pour diviser le fil.
L’auteur du correctif doit répondre à ces commentaires, et si des
enregistrements de révision s’adressent à certains de ces problèmes, la
réponse doit y faire référence (par exemple en donnant le numéro de
révision).
Tout le monde est invité à commenter un correctif, néanmoins, cette
responsabilité incombe typiquement au mainteneur du projet, ou au pair
de l’auteur du correctif chargé d’inspecter le code.
5.5 Release de logiciel
5.5.1 Préparer le release
Comment faire une release de votre projet.
-
Soyez sûrs que le projet est gelé: Demandez au directeur du
projet (si ce n’est pas vous), regardez l’agenda du projet et les
nouvelles.
- Récupérez la dernière archive de développement (Git).
- Traquez les «FIXME».
- Résolvez tous les tickets correspondants à ce release.
- Mettez à jour le fichier NEWS avec la nouvelle version et les
changements majeurs. N’hésitez pas à montrer des morceaux de code
(e.g., des «avants/après» pour les changements d’interface).
- Mettez à jour tous les numéros de version (documentation,
‘configure.ac’ …).
- Récupérez les archives finales et soyez sûrs que tout
marche bien: ‘make distcheck’ (produit des archives
‘tar.gz’ et ‘tar.bz2’).
- Publiez ces archives, mettez à jour les liens de téléchargement
sur votre site Web.
- Faites des annonces publiques (newsgroup…).
- Créez la nouvelle version majeure de développement.
5.5.2 Page de release
Faire une page Wiki pour la diffusion du logiciel. Suivre le schéma
suivant, librement inspiré des pages de releases du groupe Stratego/XT:
-
Download
- Une section avec des pointeurs vers les différents
paquets, tarballs etc.
- Documentation
- Des liens vers toutes les formes de documentation
disponibles (PDF, HTML, utilisateur, programmeur, Doxygen, Wiki etc.).
- License
- Celle qui s’applique.
- Changes
- La liste détaillées des changements. Dans l’idéal, il
s’agit de ’fileNEWS. En pratique ce fichier est rarement assez
complet et détaillé. C’est peut-être le moment de le faire.
- Issues
- Les problèmes connus avec ce release. Des informations
sur comment envoyer des rapports de bogue.
- Thanks
- Remerciements des différents contributeurs de ce release.
Quelques exemples de pages suivant plus ou moins bien ce schéma:
Index
Ce document a été traduit de LATEX par HEVEA